La falsification de l’Histoire. Mon live d’hier avait tout à voir avec cette image. En m’adressant au Ministre Marafa Hamidou Yaya, je lui rappelais respectueusement, qu’en s’associant avec un fils, Yves Michel Fotso, qui a usé de sa relation avec des politiques tels que lui pour voler et tuer son père, il y a des choses que par décence il doit dire pour cesser d’être complice de l’actuelle contrefaçon de l’Histoire.
A cause/grâce aux politiques qui n’avaient pas tous la hauteur d’un Marafa, la Banque de Fotso Victor est devenue celle d’Yves Michel Fotso qui en ait fait une entreprise mafieuse qui a coulé un empire qu’il voulait exploser pour ne pas avoir non seulement à le partager mais à être dépasser Fotso Victor et d’autres qui ont son sang.
Dans les affaires Fotso, l’intime est devenu politique avec l’utilisation parfois criminel et sauvage des instruments de l’État afin de permettre et de continuer des mélanges incestueux entre la finance et la politique.
Comme Emile Zola, je refuse de laisser faire la sottise et de céder devant un gangstérisme villageois qui ne fait même plus l’effort de résister aux excès et de mettre de temps à autre les vêtements de la tempérance.
Pour ne pas finir comme Fotso Victor, mourir tel un vieux nègre sans médaille à l’hôpital américain de Paris, Marafa Hamidou Yaya doit condamner le parricide d’un allié et clamer, haut et fort, qu’on ne laisse pas l’honneur d’un grand homme, même lorsqu’il n’est qu’africain, à des chiens.