Ce que le peuple ne sait pas de comment se vie l’intérieur du pouvoir au Cameroun depuis le feu président Ahmadou Ahidjo au successeur constitutionnel Paul BIYA. Ça va ce savoir la vérité par le peuple camerounais sur le véritable objectif des crimes crapuleux sur des êtres sans défenses qui donnent la vie, les femmes. Et la pépinière d’un pays, les enfants.
Des femmes, bébés et enfants. Image insupportable d’une vidéo qui a fait le tour du monde et d’autres qui suivront mais prévu par moi auparavant comme éclaireur et sentinelle par mes articles indiquant que toute répression aveugle au Cameroun des forces de défense et sécurité débouchera sur des pièges voulus d’image visant à tenir le chef des armées et l’affaiblir auprès de l’opinion publique pour son gain en capital de sympathie aux fins de rejet à tout soutien en cas d’insurrection du camp intérieur ou de l’extérieur sous l’influence des réseaux sectaires qui se battent depuis plus d’une décennies pour le contrôle du pouvoir et qui se trahissent par des coups bas. Système mafieux et sectaire.
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Comprendre alors les sorties vidéos des tiroirs en ces temps de la période d’ouverture de la campagne électorale pour la présidentielle du 07 octobre 2018, toutes les vidéos crapuleux de crime qui font le tour du monde que le président Paul Biya et candidat refuse de porter ce grand chapeau qu’on veut lui attribuer au nom de chef des armées. D’où l’exigence par lui d’une enquête appropriée pour faire la lumière et connaitre les commanditaires à quelle fin d’exploitation politique ? L’enquête nous révélera afin que les sanctions tombent.
Et si le peuple camerounais savait comment ce système mafieux et sectaire, la pieuvre invisible entre les mains d’une certaine mafia téléguidé en réseau pour le contrôle du pouvoir au Cameroun aux de fins de perpétuité du système gouvernant néocolonial en place à Yaoundé à l’effet de toujours jouir des richesses du pays ? Alors, il aura un autre regard sur la critique de longévité au pouvoir de Paul Biya qui débride lui aussi ce système de mafia depuis plus décennies pour que après son départ du pouvoir, que son peuple ai les lendemains meilleurs. Mais malheureusement, il n’a pas été toujours accompagné dans ses multiples castings par les siens, je veux dire les patriotes dans son pouvoir trentenaire en panne des compatriotes jouant les intérêts du pays et non plutôt pour les réseaux sectaires qui ont promus leurs ascensions sociales et ministérielles.
Je dévoilerais ici comment le pays est en panne de casting des patriotes pour servir la république et des non patriotes aux services des étrangers depuis le feu président Ahmadou Ahidjo au président Paul Biya.
Mes illustrations toucheront les camerounais que sont Messieurs les Ministres feu Robert Mbella Mbappe, feu Jean Lavoisier Tchouta Moussa, Edzoa Titus, Issa Thiroma Bakary et Alphonse Siyam Siwé, Inoni Ephraïm, Ahmadou Ali et Marafa Hamidou Yaya pour ne citer que ceux-ci qui ont servi la république mais comment ? Allons-y voir pour comprendre :
Oui si bon nombre sous le président Paul Biya ont été ou son des agents extérieur qui travaillent contre le peuple camerounais, alors, à quoi ont servis ou servent au Cameroun les rares conseils ministériels où à la sortie des ministres se confient aux diplomates étrangers comme l’a révélé dans le passé les câbles de Wikileaks à l’exemple de l’ex-Minatd Marafa Hamidou Yaya patron en son temps de la machine des fraudes électorales se félicitant à l’ambassadeur américain d’avoir obtenu, de complicité avec le président Paul Biya ? Était-ce au motif de ce qu’une source digne de foi faisait état de ce que depuis 2005, des réunions des élites du Nord, et surtout de l’inscription par l’ex-Minatd des Tchadiens et des Nigérians se seraient opérés sur les listes électorales et avaient irrité le premier ministre Inoni Ephraïm ? De sorte qu’en 2007, avant la tenue des élections couplées des législatives et communales de 2008, le PM Inoni déclencha ouvertement la dispute en créant une « cellule de suivi des élections », sonnant ainsi ses désaccords avec l’ex-Minatd Marafa au sujet des inscriptions des étrangers sur les listes électorales et l’implication personnelle de ce dernier dans le choix des candidats à la place des partis politiques.
En 2011 il se dit que, la personne qui donna la victoire au président de la république du Cameroun était le nordiste Marafa Hamidou Yaya. Alors question : que serait devenus les inscrits frauduleux du passé par le l’ex-Minatd Marafa pour les élections de 2011 dont le fichier électoral est reconduit pour 2018 ? Et si vrai l’info alors, qui contrôlerait ces étrangers qui seraient venus en 2011 des pays voisin ? Le seront-ils pour 2018 ? Attention à l’effet boomerang qui pourra prochainement déclencher la bombe du conflit électoral au Cameroun contre le candidat Paul Biya.
Et la source de conclure que le gros de la fraude électorale passé sous Marafa venait essentiellement du Nord. Le vice-premier Ahmadou Ali se confiait en 2010 au diplomate américain en ce que Ni John Fru Ndi est un corrompu et d’affamé du pouvoir et que le septentrion soutiendra Paul Biya aussi longtemps qu’il le souhaitera être président, mais si par contre Paul Biya renonçait de se présenter, alors le grand Nord n’acceptera jamais un successeur qui soit, lui aussi Béti/Bulu, ni un membre de l’ethnie Bamiléké qui est « économiquement puissante », aurait-il dit.
De cette lecture du vice-PM Ahmadou Ali, pourra-t-on dès lors en ce moment conclure en 2018, comprendre maintenant le pourquoi de l’acharnent matin, midi et soir sur les plateaux des médias, les attaques contre Maurice Kamto candidat Bamiléké ? Alors interrogation : Paul Biya déjouant tous les pronostiques de son camp de crabe et le fabriquant de la fraude électorale Marafa qui attendait son tour du jour de son destin national mais conduit plutôt en prison, les populations du septentrion seront-elles toujours engagée pour lui ? Si oui que dire de la descente du candidat Bamiléké Maurice Kamto dans le septentrion qui fait courir à ses multiples meetings les populations avec qui il scelle la coalition de sa victoire ? Et après s’en suit le candidat Joshua Osih le candidat Anglophone ? N’est-ce pas les indications de ce que les populations du grand Nord abandonnés à elles-mêmes par ses élites tapis à Yaoundé ne seront pas écoutées en octobre 2018 ? Oui il y a des signes qui ne trompent pas. La coalition avec le peuple est un mariage scellé jusqu’à la déception pour trahison de la confiance.
Au Cameroun, la mafia prédatrice tenue par les réseaux sectaires, contrôlent l’administration publique depuis le président Ahmadou Ahidjo à Paul Biya avec la mission invisible de paralysie de la vision de l’émergence du pays. Sous Ahidjo, tous les éléphants blancs sorties de terre pour tenir le peuple dans l’endettement et pomper en même temps les richesses du pays à continuer sous Paul Biya avec la mort de tous ces éléphants blancs au motif de la crise économique.
Concernant le domaine de la gestion des entreprisses publiques de l’état, je souligne que dans la politique mafieuse des réseaux sectaires au Cameroun ce n’est pas de gaieté de cœur. Le feu ministre Tchouta Moussa ingénieur général et major africain de sa promotion à l’entré de l’école française d’ingénieur de Télécom est fait à sortie de l’école par Ahmadou Ahidjo à l’âge de 25 ans le premier camerounais DG de la société nationale des télécommunication INTELCAM en remplacement d’un français du temps de Mbella Mbappe comme ministre des télécommunication et tutelle avec Paul Biya secrétaire générale à la présidence de la république. Le jeune ingénieur général, patriote, qui est nommé, trouve injuste que le système de Télécom de son pays trouvé à 4 chiffres transite par la France avant de revenir au Cameroun pour tous ses appels en mode unipolaire. Il met la science au profit de son pays et démontre que le Cameroun peut se passer de la France au plan des télécommunications en passant de 4 chiffres à 6 chiffres en mode multipolaire pour tous ses appels. Le test scientifique réussi que fait le jeune major Tchouta Moussa et son équipe, Ahidjo exulte de joie en communiquant de Yaoundé avec sa maman au Nord Cameroun instantanément.
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Par contre, si le président Ahmadou Ahidjo exulte de joie, ce n’est pas le même sentiment pour ministre de tutelle Mbella Mbappe trouvant impossible la réalisation de cet exploit réservé pour lui rien qu’au blanc et soutient que c’est du bluff l’expérimentation du jeune ingénieur général. Le président Ahidjo en partance pour la France via Garoua tente de joindre en vain Yaoundé et pense du coup au bluff insinué du ministre des Télécom qui interpelle le jeune ingénieur du courroux du président et au jeune DG de répondre, monsieur le ministre c’était un module de test et il peut toujours avec son équipe composé essentiellement de camerounais, récidiver la même expérimentation. Ce qui fût fait et le président joignais enfin Yaoundé avant de décoller pour la France. Qu’ils avaient transpirés, Tchouta Moussa et son équipe nous confiait-il à table autour d’un repas avec son épouse à son domicile sur les terres de Bangangté.
L’enfer commença pour le jeune ingénieur général qui a mis en profil bas son ministre de tutelle. Evidemment plus tard, le ministre Mbella sauta de son poste de Télécom pour l’éducation nationale après que le président Ahidjo entendit à la présidence l’exposer de faisabilité scientifique en présence de son ministre de tutelle avec comme rapporteur le secrétaire général de la présidence Paul Biya. Instruction du chef de l’état, soutenir le jeune ingénieur qui reçu de lui pour félicitation 100 millions de francs CFA et demander au gouvernement de tout mettre en œuvre pour la réalisation de la révolution Télécom au Cameroun.
Voilà l’histoire des pilonnes de communication de Zamagoué et autres au Cameroun sortis de terre avec le jeune ingénieur général. Les réseaux mafieux sont dans le courroux total et le président Ahidjo pour contourner la pression qu’il subit, soutient la candidature de Tchouta Moussa, ce brillant fils du Cameroun comme proposition du Cameroun dans le système des Nations Unis en charge des télécommunications dans le monde. Ce qui était une victoire diplomatique pour le Cameroun. Les télécommunications parti du Nigéria en Afrique de l’ouest et de toute l’Afrique central porte l’estampille de cet africain camerounais en poste. Le témoignage est rendu public à l’occasion de ses obsèques par le représentant des nations unis.
Dans la lecture du passé, Paul Biya premier ministre et le travail gouvernemental, est un gros bosseur et il aime le Cameroun confidence de Tchouta Moussa. C’est cette posture qui fait de lui le choix d’Ahmadou Ahidjo son successeur constitutionnel et président de la république, Paul Biya le fait appel et le nomme ministre du plan et de l’aménagement du territoire alors qu’il est en poste aux Nations Unis en charge des télécommunications zone Afrique.
La faiblesse de Paul Biya président de la république est sa lenteur dans la prise des décisions et des sanctions. Si le temps lui a été souvent été favorable soutient feu Tchouta, pour prendre certaines décisions et sanctions des collaborateurs, c’est pour ne pas couper les têtes sous le complot et montage des réseaux sectaires, puisque le système est fortement mafieux au Cameroun. C’est ce système des réseaux sectaires qui plombe le pays par l’inertie dans la conduite de tous les projets d’intérêt national d’offrir du bonheur au peuple camerounais dans la vision de Paul Biya.
Je souligne que la politique mafieuse des réseaux sectaires existent au Cameroun. Oui le français Vincent Bolloré en à promus des camerounais ministres à l’instar d’Alphonse Siyam Siwé ex-directeur général du Port Autonome de Douala pour service rendu en remplacement de celui qu’il obtient sa tête dans la mafia sectaire, et vous comprendrez le pourquoi dans les développements, le feu ministre Tchouta Moussa ex-directeur général de l’Office nationale des ports du Cameroun muté en Port Autonome de Douala. Je le sais pour avoir été un proche du Shadow cabinet politique du feu ministre Tchouta Moussa et ex-directeur général de l’Office nationale des ports du Cameroun muté en Port Autonome de Douala. Plusieurs fois reçues en audience au 6ème étage de la direction générale du Port Autonome de Douala contre zéro audience accordé au français pendant 5 ans à son poste de DG. Avant l’arrivé du directeur général, le français de Bolloré payait le montant de 500 millions de francs CFA l’an le tonnage forfaitaire de marchandise. Monsieur Tchouta renonce à tonnage forfaitaire et fait installer les ponts bascules au Port de Douala pour la pesé de marchandises et les caisses du port se renflouent en milliards de Bolloré.
Il en est de même de la création par les réseaux mafieux piloté par le même français une entreprise de dragage des eaux du Wouri avec pour capital une trentaine de milliards que doit financer le Port Autonome de Douala ce que rejette le DG Tchouta de se plier aux bandits. Pour appuyer la mafia de Bolloré, le président du conseil d’administration ministre des transports Issa Tchiroma Bakari et le secrétaire général à la présidence de la république Edzoa Titus font des pressions sur le DG disent-ils sous haute instruction du président de la république Paul Biya oubliant que le même DG qui ne cédait pas à la mafia avait la confiance du chef de l’Etat à qui il rendait compte de la situation. Ceci n’a jamais été su par les réseaux sectaires que le DG tirait sa force du chef de l’état, patriote masqué.
Après ce coup de société de dragage des eaux du Wouri, c’est le projet de privatisation d’un pan du port au profit de Bolloré qu’exige le ministre des transports président du conseil d’administration qui dit agir sous haute instruction du chef de l’état est mis en minorité au vote du conseil pour dire non au projet de privatisation d’un pan du port de Douala malgré les notes du SG/PRC Edzoa Titus qui insinues que c’est sur les hautes instructions du président de la république. Pour le DG Tchouta Moussa, le port est une entreprise stratégique du pays pour donner cela aux mains des étrangers et suggère que si tel est l’envie gouvernemental alors, que les hommes d’affaires camerounais à ses yeux soient les prioritaires. Une certaine presse à gage est mise à contribution contre Tchouta Massa au nom du cabinet noir entre les mains des réseaux sectaires.
Le DG Tchouta Moussa très soutenu par toute la classe des hommes d’affaires nationaux et sa famille politique RDPC du pays bamiléké dresse un mémorandum à l’adresse du chef de l’état. Je suis l’un des signataires. Le président Paul Biya en cours séjour privé à Baden-Baden en Allemagne, le mémorandum lui parvient officieusement sous mes conseil par la voie parallèle de sa feu belle mère et officiellement au Chef de l’Etat via Ferdinand Koungou Edima le gouverneur du Littoral pour monsieur Achidi Achu, premier ministre chef du gouvernement.
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A son retour du cours séjour privé, s’en suit à 13 heures un sobre remaniement ministériel, Monsieur Edzoa Titus quitte le secrétaire général de la présidence de la république pour le ministère de la santé publique et Issa Tchiroma Bakari quitte le gouvernement pour la galère avant de revenir plus tard au gouvernement comme ministre de la communication. C’est ici que nait la candidature du chirurgien médecin Edzoa Titus à la magistrature suprême qui le conduit plutôt en prison. Aussi, Alphonse Siyam Siwé remplaçant de Tchouta Moussa au Port Autonome de Douala que Vincent Bolloré en a fait ministre pour servir rendu mais refuser sous Tchouta Moussa, je trahis aujourd’hui que Paul Biya l’envoie officieusement en prison pour son manque de patriotisme envers le Cameroun et de son alliance en business avec le français.
Le cabinet noir du français Vincent Bolloré au Cameroun met les médias de tout ordre à contribution pour démolir feu Tchouta Moussa. Il doit aller en prison. Trois contrôles supérieurs de l’état ne produisent aucune infraction de fautes de gestion. Les documents officiels de la maison sortent dit-on via le DGA qu’on aurait promit le poste de son patron, inondent la presse par l’entremise d’un certain journaliste qui coordonne la mise à mort médiatique du gêneur de Bolloré dans son business au Cameroun. Journaliste mal noté par le conseil national de la communication le CNC.
La pression des réseaux sectaires sur Paul Biya pour envoyer Tchouta en prison est tellement forte que le DG choisira la voie de l’immunité parlementaire pour sortir des griffes du rouleau compresseur des réseaux qui se discutaient de lui pour son emprise sur le peuple Bamiléké et l’avoir chacun dans son camps pour sa popularité à l’ouest du pays comme allié de conquête du pouvoir dans l’avenir et Tchouta déclina l’offre en vouant sa fidélité à Paul Biya qui a toujours dribblé la mafia de ce qu’il laisserait le pouvoir à la fin de chaque mandat et du coup les réseaux dormant s’affrontaient pour sa succession. C’est cette stratégie réussie par Paul Biya qui lui a permis de chaque fois levé le lièvre dans son camps de mettre la main sur des fortunés insolents à rendre gorge et brisé ainsi les ambitions politiques non affichées de conquête du pouvoir des pions et suppôts du système mafieux des réseaux sectaires. Les voilà nombreux en prison, ces directeurs généraux et ministres de la république d’ambition politique non affiché.
D’abord retenir que la vision pour le bonheur des peuples du pré-carré français n’est pas du goût de la mafia prédatrice au seul motif que le bonheur d’un peuple donne l’émancipation et rend ce peuple majeur de se prendre en main et non plus de vivre dans la posture d’éternel assisté. Conséquence de ce que, la direction d’un pays qui n’est pas sous influence du système néocolonial devient récalcitrante et jouit pleinement de sa souveraineté et affirmation dans le concert des nations comme un véritable Etat.
J’ai planté le décor ci-dessus pour me faire bien comprendre en ce que, ce n’est pas facile avec nos chefs d’état africains du pré-carré français en poste que sont les Idriss Deby Itbno, Sassou Nguesso, Theodoro Obiang Nguema….. pour finir aujourd’hui à Joseph Kabila de la RDC que la mafia prédatrice à eu le dessus pour qu’il tombe est l’illustration que je porte à votre vue pour saisir la guerre des réseaux sectaires aux mains des multinationales qui financent les politiques et distribution des rétro-commissions sur les contrats obtenus desdits dirigeants. Le dirigeant qui ne marche pas dans le couloir de la mafia prédatrice connait tous les désordres possibles dans son pays qui trouve le terreau favorable de son évincement du pouvoir.
Ces gens des réseaux sectaires, cagoulés de masque royaliste que le roi, insoupçonnables font parties de la ceinture du pouvoir de Yaoundé et soutenus des réseaux extérieurs qui pilote en sous-traitance terroriste la nuisance sécuritaire du pays afin de fragiliser le pouvoir de Yaoundé et le récupérer des mains politiques du camp d’en face de l’opposition et la vraie, dans la situation de toute insurrection populaire de la rue dans le « chassement » de Paul Biya que le réseaux sectaires ont depuis, préalablement, exposer le dirigeant du pays comme le souffre douleur de la misère de tout un peuple. Paul Biya sous toutes les lèvres en bien comme en mal est rendu impopulaire par les réseaux sectaires afin que cela facilite la monté de la colère sociale contre lui pour soulever toute insurrection de prise de pouvoir. Le coup d’état scientifique rythme de cela.
D’où la justification et de difficulté de certains gens de ce casting nommer par Paul Biya pour servir le peuple camerounais à l’exemple de feu Tchouta Moussa en son temps dans la vision du renouveau et non de se servir au détriment du peuple en abandonnant la vision du renouveau qui a pour conséquence les sanctions du cartel des voleurs en col blanc en prison qui ne colle pas à la présentation du bilan des charges de l’état à eux confier par le mandataire exerçant le pouvoir délégataire du mandant qu’est le peuple souverain.
Les réseaux sectaires qui ont mis le pays dans l’inertie total traduit par la mal gouvernance de braconnage de l’état à leurs avantages politiques croyaient casser les ressorts de la longévité de Paul Biya au pouvoir afin qu’il renonça de candidater en 2011 et pire, il rempile encore en 2018 n’est pas du gout du cartel des bandits et d’ailleurs quel regret pour eux d’avoir laissé l’occasion de 2008 avec la grève de la faim pour porter l’estocade avec le soulèvement insurrectionnel de la rue ?
Maintenant en 2018, toute la mise de ces réseaux sectaires mafieux qui pilote le Cameroun, sont au tournant de récupération de l’action des activistes du champ politique et de la société civile, attends le comportement du management sortie de l’élection présidentielle du 7 octobre 2018. Dans ces conditions de la présidentielle 2018, Paul Biya ne sera-t-il pas alors dans toute les cas de figure pour la paix au Cameroun, l’alpha et l’oméga de la bonne tenue d’une élection libre, transparente et démocratique pour que sorte des urnes le choix du peuple souverain afin que le nouvel élu jouisse de la légitimité populaire et de la légalité républicaine pour tenir fort devant tout les réseaux sectaires sur le Cameroun ? Oui ce nouvel élu ne doit pas avoir les cordes aux pieds au seul motif d’être issu de la fragilisation d’une élection contestée qui profiterait plus aux réseaux mafieux et sectaires pour faire chanter tout nouvel élu au détriment du peuple camerounais.
L’alternative appelée de tous les vœux par la vraie classe politique de l’opposition camerounaise, précédera une alternance réussie au Cameroun le 7 octobre 2018 comme l’une des conditions majeures pour connaitre une émancipation véritable et le futur meilleur du pays loin des griffes des prédateurs. Oui c’est de ça qu’il s’agit, le destin du Cameroun en dépend.