Depuis pas mal de temps, le ministre de l’Eau et de l’Énergie est dans le collimateur des tireurs embusqués, sûrement instrumentalisés par les pourfendeurs de son action. Celui sur qui repose les projets structurants, synonymes des lendemains qui chantent pour les camerounais, est mangé à toutes les sauces.
Tout cela aiguise la jalousie des détracteurs qui, à travers des journaux à la solde des esprits retors, sont déterminés à lui faire un bébé dans le dos. Pourtant, personne n’a oublié, à défaut d’être de mauvaise foi, que le Dr Basile Atangana Kouna alors Directeur général de la Camwater, avait utilisé toutes les herbes de la saint Jean pour obtenir des financements pour la construction des infrastructures inhérentes à la couverture du Cameroun en matière d’adduction d’eau potable. Des chantiers à profusion, sont actuellement en cours d’exécution.
L’assèchement des robinets, relèvera désormais d’un lointain souvenir. Grace à son talent d’habile négociateur dans le sens de la coopération, il a pu trouver d’astronomiques financements qui vont d’Eximbank of China, l’Agence Française de Développement(Afd), la Banque Africaine de Développement (Bad) et Tutti quanti. Ces efforts, à la limite titanesques, ont permis de résoudre le problème des coupures d’eau qui menaçaient de prendre des formes politiciennes.
Fort heureusement, le Dr Basile Atangana Kouna et son équipe ont réussi à sauver la face en sortant la tête du gouvernement de l’eau. Cela est davantage à mettre à son actif, n’en déplaise aux oiseaux de mauvais augures. Les populations en étaient même déjà dans la logique insurrectionnelle, à cause de ces pénuries d’eau.
Tout cela ne saurait donner du sourire aux apprentis sorciers de sa Mefou et Akono natal, qui ne caressent que le rêve secret d’avoir la peau de ses fesses. Son dynamisme politique dans le Wouri gêne à plus d’un titre. Il n’est donc pas surprenant que des tabloïds instrumentalisés par des ennemis de l’ombre ternissent l’image du ministre de l’Eau et de l’Energie pour des raisons de positionnement de leurs mentors en embuscade.
Aussi étonnant que cela puisse paraître, ce n’est pas son travail qui est remis en cause, mais des pans entiers de sa vie privée. Des histoires calomnieuses et contradictoires sont racontées dans des canetons. Honteux, non ! Car tout cela n’a aucune parenté avec le noble métier de journaliste.