Le président Kamto a commencé à nous mettre en garde contre cette plaie dès 2018 et depuis là il n'a cessé d'être constant à ce sujet. Le gré à gré se précise de plus en plus au fil du temps. Un leader se dégage dans cette course contre la montre entre un Ngo Ngo quasi président et d'autres figures biens tapis dans l'ombre. C'est le profil de Franck Biya à qui ils essaient de donner une épaisseur qui n'a pas acquis cette épaisseur de lui même durant ses plus de 40 ans de vie et quelques.

Cette machination fait du chemin à l'Ouest du pays. ils essaient de le façonner et de le faire vivre dans l'esprit des chefs de ménages là bas comme son père Paul Biya en 1982 avant qu'il ne s'impose sur la scène nationale.
Nous ne devons pas négliger ce symbole là.

L’idée du fils de l'homme qui succédera à son père continue de faire son petit bonhomme de chemin depuis que ce scénario est revenu à la mode ces derniers années avec l'exemple du Gabon, du Tchad et biens d'autres exemples qui de dessine en Afrique à l'exemple de la Guinée Équatoriale. Une vraie spécificité centrale Africaine.

Pendant qu'on nourrit ce monstre froid, qui grossit et bientôt prêt à tout dévorer sur son chemin, plusieurs de nos militants, sympathisants et citoyens sont en rang dispersé. Ils nous distraient avec des histoires à dormir debout pourtant si nous manquons ce coach, c'est partie pour encore au moins plusieurs décennies de misères et de dictatures comme jamais.

Voilà pourquoi nous devons être à l'avant garde, à l'avant veille de cette lutte. Si les réseaux sociaux au lieu d'être un outil au service de cette lutte nous distrait plutôt, alors il serait temps de réfléchir à le mettre de côté et de poursuivre notre marche vers la libération de notre pays car Facebook n'a jamais fait tomber un régime, on s'en sert pour le faire tomber la nuance est très grande.

Alors chers citoyens réveillez-vous.
Christian Nyamsi