Nouvel épisode de la série sur les prisonniers politiques au Cameroun. Le journaliste politologue Boris Bertolt revient avec l'enlèvement d'André qui est écroué depuis quelques années.

Le 17septembre 2020 deux gros bras parmis lesquels un certain Tchomnou Rivaldo Carlos, sont arrivé à sa boutique .

Il etait 13h son fils et son employé ne se doutaient de rien. Pourtant, ils assistaient à un enlèvement d'un libre citoyen par le violent régime de Biya .

Les gros bras vont renverser le déjeuner que prenait André dans une violence indescriptible. Il sera violemment jeté dans un car pour une direction inconnue.

Au niveau de l’EMIA ils ont pris la route de l'enam ou à un niveau ils demanderont de l'argent pour le libérer, André leur dira: " je n'avais rien d'autant plus que je ne sais pas ce que j'ai fais" un certain Tchomnou va rétorquer que "tu vais lire l'heure ".

C'est ainsi qu'ils sont allés livrer Andre entre les mains des retdoutables tortionnaires, depourvus de toute empathie Njoya et zambé au SED qui vont tour à tour appliquer ce qu'ils savent faire de mieur: faire subir de pires tortures pour extorquer des aveux sur le lieu de fabrication des effigies pour la marche du 22septembre 2020.

Ayant laissé andré pour mort , ils vont le jeter en cellule vers 19h pour revenir le chercher à 22 heures afin de lui déchirer les plantes de pieds à l'aide des matchettes.

Une institution entretenue à coût de milliards juste pour torturer des honnêtes citoyens, leur retirer la dignité d'hommes, justifie par le désir de plaire à Paul biya. Que diront ils demain? Tous sont connus, du sed.

Nos institutions ont choisi muté vers des sociétés de tortures et de déshumanisation que d'être des actrices de protection du citoyen