Opinions of Saturday, 20 July 2024

Auteur: Aissatou Bouba Dalil

Une cadre du MRC humilie copieusement Dr Marlène Emvoutou

Patience Emvoutou Patience Emvoutou

Aissatou Bouba Dalil, secrétaire nationale du MRC, en charge des questions d'environnement, n'a pas du tout été tendre avec le Dr Marlène Emvoutou.

"Tout ce qui arrive à la tribaliste compulsive n'est que la conséquence de sa haine viscérale envers une tribu en particulier : les Bamilékés.

Cette femme a été nourrie au biberon de la division semé par le régime dictatorial BIYA dont elle a longtemps été le porte-voix.

Cette femme prétend être "Dr" mais elle passe la majeure partie de son temps à mettre en scène sa vie privée et à INSULTER les Bamilékés. Elle ne nous a jamais édifiés sur la thèse de doctorat qu'elle aurait écrite pour sanctionner le doctorat qu'elle prétend avoir. Les vrais docteurs écrivent des livres, des essais, enrichissent les bibliothèques, fournissent un travail intellectuel à la hauteur de leurs compétences...

Quel est même ce "Dr" qui n'a pour seule occupation que de s'imaginer une vie qui n'est pas la sienne ? Comment les Camerounais peuvent-ils accorder du crédit à une telle imposture ?

Pour une personne qui prétend vouloir jouer un rôle dans le Cameroun LIBRE que nous appelons de nos vœux, autant lui dire qu'il y aura une étape à franchir avant : se faire soigner. Je suis aujourd'hui persuadée que cette femme souffre d'un grave trouble psychiatrique et c'est ainsi que finissent ceux qui ont passé toutes ces décennies à nourrir le tribalisme pour maintenir tout un peuple sous l'eau, un autre signe de la décadence longtemps annoncée de ce régime qui ne tient plus qu'à un cheveu. L'imposture mise à nue, pourrait être le titre donné à l'histoire tronquée que cette femme a essayé de vendre aux Camerounais, autrement dit, se faire passer pour ce qu'elle n'est pas.

La vie au naturel est toujours la meilleure, loin de tous ces fards et artifices trompeurs qui au fond, ne changeront jamais la vie des 25 millions de Camerounais qui attendent depuis quatre décennies leur libération".