Selon une source de la police, “le gouvernement du Nigeria ne peut pas être considéré comme habillant des séparatistes d’un pays voisin comme le Cameroun quand les deux pays coopèrent et se battent ensemble pour déraciner les terroristes de Boko Haram qui sont des insurgés essayant d’imposer leur propre Etat islamique. Nord-est du Nigeria.

“En outre, il est de notoriété publique que le gouvernement fédéral du Nigeria a récemment réprimé les activités illégales de l’IPOB (Peuples Indépendants du Biafra), aucun autre peuple est une exception.

Alors, comment le territoire du Nigeria peut-il servir à former des séparatistes pour désobéir civilement dans un pays aussi amical que le Cameroun? “Une source sécuritaire a confirmé au journal quotidien camerounais que les dirigeants arrêtés étaient pris en flagrant délit dans les camps d’entraînement des membres séparatistes AMBAZONIENS pour une future confrontation avec les autorités camerounaises et les forces de sécurité.

L’officier de la police nigériane (FNP) avait expliqué clairement que les dirigeants des MOUVEMENTS SEPARATIST / RESTAURATIONISTS ou AMBAZONIENS du Cameroun qui avaient été arrêtés sur le territoire nigérian avaient clairement bafoué les lois de la nation en exploitant des camps d’entraînement au Nigeria.

En agitant un, des attaques de type IPOB, cela impliquait qu’ils étaient contre la loi Nigériane», en conséquence, ils ont été arrêtés dans les États de Taraba et de Cross River. Les deux Etats ont des frontières avec les régions du sud du Cameroun, d’où un accès facile au Nigeria où les attaques lancées contre les forces gouvernementales au Cameroun.

Il a été convenu que les dirigeants AMBAZONIENS seraient transférés au quartier général des Forces Compétentes, à Abuja, puisque la question des camps d’entraînement à travers les frontières est devenue un problème international et diplomatique.

Il y avait également des indications que des fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères du Nigeria et de l’ambassade du Cameroun au Nigeria discutaient déjà de l’arrestation, qui a finalement abouti à l’extradition de SISIKU TABE AYUKE et:

Dr. Nfor Ngala Nfor, Président du Conseil national du Southern Cameroons (SCNC)

Dr. Fidelis Nde Che,

Dr. Henry Kimeng

Prof. Awasum

Dr. Cornelius Kwanga