Que s’est-il exactement passé?
Les informations fusent aussi variées les unes des autres.
Les supputations
Les premières informations indiquent que les tirs proviendraient du domicile d’un ancien candidat à la présidentielle nigériane. Le gang de 7 malfrats se serait introduit dans ladite résidence et y a mis près de 90 minutes.
Les informations continuent de circuler et précisent que les bandits exerceraient à l’aide de deux motos, une Prado et une Mercedes.
Les échanges de tirs entre éléments du gang et forces de sécurité se seraient soldés par la mort d’un des braqueurs et l’arrestation de trois membres du groupe donc un douanier. L’identité de ce dernier a simplement été mise en boite, tout comme celle des autres membres du groupe.
Supplément
Ce lundi 21 mars, l’information refait surface, le quotidien Le Jour ne confirme pas le braquage, affirme les échanges de coups de feu et indique que l’incident a lieu dans aux environs de 19h05 minutes.
Le même quotidien confirme l’interpellation de 3 suspects notamment un inspecteur des douanes, une jeune dame qui ferait dans la trentaine et un agent de sécurité l’autre agent ayant perdu la vie et les restes transportés à la morgue d’un hôpital de la place.
Une troisième version corrobore l’affirmation de la dame interpellée et relayé par le quotidien bleu « je suis la propriétaire de cette maison. M. Atikou n’habite pas ici…c’était mon fiancé nous avons rompu, maintenant il veut arracher ma maison. Voilà pourquoi il a alerté qu’un braquage était en cours chez lui ».
Affaire de mœurs
Le milliardaire aurait surpris sa maitresse en flagrant délit d’adultère et aurait décidé de rentrer en possession de son bien (la maison), laquelle légalement porterait le nom de sa maitresse. Voyant via une vidéo de surveillance, les présences de personnes inconnues (gros bras) il aurait alerté les forces de l’ordre.
Toujours selon certaines indiscrétions, lesdits gros bras auraient été recrutés par l’avocat de la maitresse de maison pour veiller sur son bien-être et son bien.
Une dernière information indique pourtant l’l’interpellation de gendarmes ayant tué le « confrère américain ».Qu’il ne s’agirait pas d’un braquage, mais d’une intervention de sécurité légataire diligenté par un avocat international qui aurait fait appel au gros bras parce que la sécurité nationale n’aurait pas au moment indiqué des hommes disponibles. La visite d’Etat du président italien expliquerait cela.
Une enquête serait en cours. L`avocat serait lui aussi en garde à vue et ses confrère auraient fait un setting devant le parquet de Yaoundé pour sa liberation. Mais rien n`a fera.