play videoLes militaires du BIR
• Une affaire de 500fcfa au coeur de la tragédie de Buéa
• Des vidéos du gendarme demandant 500f à la dame circulent sur la toile
• Un numéro vert à la portée de la population pour signaler tout acte de corruption des hommes en tenue
La corruption orchestrée par les hommes en tenue sur les routes camerounaises n'est plus à démontrer. Différentes vidéos et images ont circulé sur la toile montrant à suffisance les policiers et gendarmes percevant la modique somme de 500fcfa des conducteurs et chauffeurs d'engins. Cette situation scandalise la population qui crie à l'harcèlement des policiers.
Des sources indiquent que dans les tristes évènements produits à Buéa, le gendarme aurait demandé au conducteur 500F comme droit de passage. Une demande qui a été refusé, s'en suivre le tragide incident ayant tué Caroline la fillette de 3 ans. Une version différente de celle présentée par le ministre de la Défense.
Même si le refus de payer 500fcfa au gendarme n'est le mobile prépondérant dans la fusillade de la voiture, il est quand même relayé sur la toile avec des vidéos à l'appui les gendarmes qui avec insistance obligent les conducteurs de voiture et moto à leur donner 500fcfa pour leur "Whisky". Au cas contraire, les hommes en tenue les laissent poireauter durant des minutes et des heures; ou bien les conducteurs trop énervés, s'enfuient où foncent sur eux; ou carrément se battent avec eux.
Une vidéo ci-dessous d'un gendarmé filmé alors qu'il demandait de force à une dame 500fcfa pour acheter du "Whisky" à ses heures de travail. "Donne le whisky du chef", lui lance-t-elle.
Bien que la femme lui signifie qu'elle s'en va déposer sa fille déjà en retard à l'école et qu'au retour, elle lui remettra son argent. Il n'est convaincue par les dires de la femme et lui dit qu'elle ne veut surêment pas que l'enfant va à l'école à temps sinon elle ne perdrai pas de temps à discuter avec lui.
Récemment, la délégation de la surêté nationale a enrégistré une série de violences faites aux policiers et gendarmes dans les rues dûes à l'harcèlement des conducteurs pour leur fameux "Whisky". Le gouvernement bien informé des Abus de pouvoir, corruption, tortures des hommes en tenue sur les routes camerounaises a laissé à la portée de la population un numéro vert pour les dénoncer.