• Wilfried Ekanga est né le 26 avril 1990 au Cameroun.

• Il a donc 32 ans ce mardi 26 avril 2022

• A l’occasion de son anniversaire, Wilfried Ekanga se moque de l'âge de Christian Bassogog


« Le seul qui soit plus jeune que moi parmi tous les utilisateurs de Facebook, c’est Christian Bassogog » a-t-il écrit sur son compte Facebook ce 26 avril, jour de son anniversaire. De ce fait, le militant du MRC se moque ouvertement de l’âge du Lion Indomptable.

Politologue et spécialiste des questions internationales, Wilfried Ekanga est né le 26 avril 1990 au Cameroun. Il a donc 32 ans ce mardi 26 avril 2022. A l’occasion de son anniversaire, celui qui se fait connaitre à l’opinion publique camerounaise à partir de 2016, grâce à ses prises de positions contre l’impérialisme économique en Afrique, a publié un message sur sa page Facebook.

Le critique politique camerounais y tacle le footballeur international Christian Bassogog. « 26 avril 1991. IT’S MY BIRTHDAY !!!! J’ai un an de moins aujourd’hui. Me voici redevenu encore plus jeune que l’année dernière. Le seul qui soit plus jeune que moi parmi tous les utilisateurs de Facebook, c’est Christian Bassogog ! Voilà ça ; j’ai dit ! », écrit-il.

Wilfried Ekanga ‘accuse violemment’ Pascal Messanga Nyamding, voici les raisons

L’exclusion définitive du Pr Pascal Charlemagne Messanga Nyamding du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) suscite beaucoup de réaction sur les réseaux sociaux depuis mercredi.

L’analyste politique Wilfried Ekanga, commentant cette actualité, dit se souvenir de son débat avec « tonton » Messanga. Il se souvient que le Biyaïste était « tellement pédant, tellement sûr de lui, tellement confiant en son « maître politique » en cercueil roulant, tellement à l’aise dans ses mensonges (quelques jours plus tôt à Yaoundé, dans les coulisses de la RTS, il m’avait déjà sorti sa stupide histoire de vidéo). Tellement certain qu’il faisait partie des propriétaires du Cameroun », indique-t-il dans post sur Facebook.

« Vous méritez ce qui vous arrive, de A à Z. Si ça peut vous aider à comprendre et à nous rejoindre dans le combat pour une justice universelle et équitable pour tous, c’est un mal pour un bien. Dorénavant, chacun lira l’heure sur la machette nationale. », a-t-il poursuivi.

L’intégralité de sa publication ci-dessous :

L’après-CAN est amer amer
PANIQUE EN ALGÉRIE !

J’apprends à l’instant que mon frère du village ci-dessous a rejoint mon autre oncle du village Messanga pour bouffer la tontine de notre village ?
Mon commentaire : « On va faire comment ? »
(C’est tout. Je devais dire autre chose ?)

Je ne commettrai plus la bêtise de m’indigner pour un biyayiste en détresse.
Jusqu’à ce qu’ils aient appris à compatir pour les malheurs de ceux qui se battent pour eux et qui sont muselés par ce même régime violent, voyou et assassin que eux, soutiennent.

Le sang de Samuel Wazizi, le visage ensanglanté de Paul Chouta, la privation de liberté de Bibou Nissack, les chaînes aux pieds de Nguefack sur le lit d’hôpital, et le crâne ouvert de Mamadou Mota crient jusqu’à moi. Je ne peux plus ressentir de la pitié pour vous.

Et si même c’était le cas, alors j’aurais pitié de votre misérabilisme moral à défendre l’irrationnelle sauvagerie dans votre propre pays.

Je me souviens de mon débat avec tonton Messanga. Tellement pédant, tellement sûr de lui, tellement confiant en son « maître politique » en cercueil roulant, tellement à l’aise dans ses mensonges ( quelques jours plus tôt à Yaoundé, dans les coulisses de la RTS, il m’avait déjà sorti sa stupide histoire de vidéo ). Tellement certain qu’il faisait partie des propriétaires du Cameroun.
Du haut de ses 8 doctorats, il n’avait pas saisi que le système que je dénonçais est prêt à le broyer autant qu’il broie les miens.

Voici qu’aujourd’hui, ça a cuit dans la défense algérienne.
Bientôt, lui aussi prendra son Zanpa-Couteau et rejoindra la BAS-Society. Car il est fini. Kondengui n’est plus qu’une question de semaines.
Vous méritez ce qui vous arrive, de A à Z.

Si ça peut vous aider à comprendre et à nous rejoindre dans le combat pour une justice universelle et équitable pour tous, c’est un mal pour un bien.
Dorénavant, chacun lira l’heure sur la machette nationale.

Puisque quand on vous dit que même vous vous n’êtes pas à l’abri de ce système cannibale, vous dites que hoooo, nous ne sommes pas en danger.
Et c’est quand vous croyez que vous n’êtes pas en danger….

EKANGA EKANGA CLAUDE WILFRIED
(Bientôt ce sera au tour du tribaliste à lunettes de lire la date sur le chantalisme patriotique)