Actualités of Friday, 11 November 2022

Source: www.camerounweb.com

Confidentiel : Ferdinand Ngoh Ngoh trahit à nouveau Chantal Biya

Impensable ou bien ? Impensable ou bien ?

Impensable ou bien ? C'est une information que rapporte l'éternel 'bourreau' du Secrétaire général de la présidence de la République, le journaliste et lanceur d'alerte Boris Bertolt. Pour ce dernier Ferdinand Ngoh Ngoh a trahi Chantal Biya en prenant une nouvelle femme.

Non pas parce que Ferdinand Ngoh Ngoh aurait promis se marier avec l'actuel Première Dame mais plutôt parce qu'avec ce nouveau mariage, le Secrétaire général de la présidence de la République trahissait l'amie de Chantal Biya, Mme Céline Ngoh Ngoh, la première épouse de Ferdinand Ngoh Ngoh.

Dans un précédent article, Camerounweb citant Boris Bertolt vous informait d'un mariage du SGPR avec une jeune métisse de 22 ans à Kribi. L'on apprend que la première dame Chantal qui est son allié de toujours, celle qui l'aurait aidé en décembre 2011 à acceder à son poste actuel et à qui il doit sa longévité n’était informé de la nouvelle idylle et du nouvel métissé de l’homme à la punk. Et encore moins sa première femme, maman Céline NGOH NGOH, la Kota de maman Chantou, indique Boris Bertolt.

Quand l’information est révélée, la première dame pique une colère et ne veut plus sentir l’homme à punk. Céline elle même le chasse de leur grande résidence à Nyom, banlieue de Yaoundé.

NGOH NGOH est isolé. Il n’arrive même pas à digérer des câlins et caresses de sa nouvelle femme qu’il est assommé par un mandat d’amener. L’homme à la punk comprend que c’est chaud. Sentant sa position en danger, il décide de se faire pardonner par sa première femme. L’homme à la punk fait des pieds et des mains. Il lui donne désormais tout.

Au point où pour l’une des rares fois depuis qu’il est SGPR, maman Céline doit voyager. Elle se rend en France pour en partie ses soins. L’homme à punk décide lui même de l’accompagner à l’aéroport. Chaque fois qu’elle le lui demandait par le passé il prétextait être très occupé.
écrit Boris Bertolt.