La libération provisoire demandée par le camp de Maxime Eko Eko, prend une tournure non favorable pour le désormais ex patron de la DGRE.
En effet, le camp du patron de la DGRE, Léopold Maxime Eko Eko aurait déposé une demande de libération provisoire auprès du tribunal militaire et le traitement de cette demande réclame la présence du prévenu d'où son extraction de sa cellule de la prison principale de Yaoundé Kondengui.
Ensuite, il nous est revenu que le dossier ne peut encore être traité pour une question de compétence qui s'est posée avec le juge actuel. En effet, Le juge d'instruction militaire SIKATI II KAMWO qui doit gérer la suite de cette affaire n'a pas encore officiellement pris fonction. De plus, Le juge qui les a inculpé n'a plus compétence de se prononcer sur la libération c'est le juge qui doit ouvrir l'information judiciaire qui a compétence.
Pendant ce temps, du côté de la famille du journaliste défunt, la publication d’un programme des obsèques du chef de chaîne d’Amplitude FM provoque une levée de boucliers dans la famille et au sein de l’opinion.
La polémique grandissante a contraint le Secrétaire Général du ministère de la Communication à faire une mise au point. Félix Zogo, élite de l’arrondissement d’Ebebda dont est originaire Martinez Zogo, fait savoir que le programme des obsèques querellé n’a pas eu son assentiment, ni celle des personnalités de premier plan du département de la Lékié, contrairement à ce qui est véhiculé dans les réseaux sociaux.
Il précise que les proches du défunt restent dans l’attente des décisions des instances compétentes pour la mise à disposition de la dépouille du journaliste à sa famille, avant le processus des obsèques rapporte Cameroon-Info.