Actualités of Sunday, 7 November 2021

Source: www.camerounweb.com

Emprisonnement et amendes: voici tout ce qui risque d'arriver à Gaëlle Enganamouit

Gaëlle Enganamouit Gaëlle Enganamouit

• Gaëlle Enganamouit risque l'aller en prison

• Elle pourrait y passer plusieurs années

• Selon Roger Chantal Tuile, l'ancienne Lion risque gros


A condition que les lois soient respectées au Cameroun, notamment l'article 347 du code pénal du camerounais, l'ancienne Lion Indomptable doit faire l'objet d'une poursuite pour homosexualité. Et les preuves irréfutables l'incriminant sont nombreuses, après que des vidéos d'elle en pleins ébats sexuels avec des femmes ont été déversées sur les réseaux sociaux.

Pour Roger Chantal Tuile, Gaëlle Enganamouit risque d'aller en prison pour 5 bonnes années. Ces 5 années, faudra le préciser, sont seulement pour les accusations d'homosexualité pour lesquelles elle doit normalement être poursuivie.

"Je pense que c'est une très mauvaise opération de communication. Je pense surtout, que c'est très bien d'aller à l'école. Ce soir, elle ne pourra pas s'empêcher de mettre les insanités que j'ai découvert avec tous les autres camerounais sur le dos de Mbombo Njoya que je méprise au moins autant qu'elle. Cependant, ce n'est pas l'actuel président de la FECAFOOT qui se rend coupable de la violation flagrante de l'article 347 du code pénal du Cameroun qui devrait la condamner à 05 ans de prison ferme. Car, cette chose là est interdite au Cameroun dixit Paul Biya", a écrit le journaliste à propos du passage annulé de Gaëlle sur Canal 2 international.

"Quelqu'un qui a bien lu son livre de lecture du cours élémentaire aurait gardé le silence en pareil circonstances car l'émission de ce soir, peut si non susciter de nouvelles vidéos, au moins informer même les camerounais de l'arrière pays encore ignorant de ces exploits lubriques. Comme j'ai dit il faut lire de bon livre. C'est important!", ajoute Chantal Tuile.

Rappelons que l'homosexualité est interdite et sévèrement punie par la loi au Cameroun.

l'article 347 du code pénal du pays précise clairement que cette pratique est "punie d'un emprisonnement de six (06) mois à cinq (05) ans et d'une amende de vingt mille (20 000) à deux cent mille (200 000) francs, toute personne qui a des rapports sexuels avec une personne de son sexe".