Actualités of Thursday, 20 June 2024

Source: www.camerounweb.com

Gigolo : le nom d'un artiste camerounais lié à Brenda Biya la fille du président

La musique camerounaise La musique camerounaise

Prince Ndedi Eyango a récemment accusé l’ancien international Joseph Antoine Bell de ne pas soutenir la musique camerounaise et de l’avoir humilié lors d’une rencontre il y a quelques années. Sauf que les soutiens du l’ex Lion indomptable n’ont pas trop apprécié le ton et le moment choisi pour faire cette révélation.

Jorel Zang est l’un de ces soutiens. Il est allé chercher une photo et a écrit sur la toile : « Ndedi Eyango, te voilà ici en train de chanter devant Joseph Antoine Bell tout souriant à la soirée camerounaise en 2017. Le même Joseph Antoine Belle que tu dis qu'il n'aime pas la musique camerounaise. Ce soir, tu avais reçu de sa part une enveloppe bien lourde en farotage ».

Alors explique-moi comment on peut ne pas aimer la musique camerounaise en l'occurrence la tienne et la danser tout souriant jusqu'à faroter les artistes camerounais dont toi, poursuit la source citée.

« Je comprends mieux maintenant pourquoi les artistes camerounais n'ont pas voulu de toi à la présidence des droits d'auteurs du Cameroun. Tu es un menteur pathologique et à ton âge, c'est triste. Tu as décidé de ressortir les poubelles mais sache bien qu'on peut le faire aussi avec toi. L'amitié entre tes filles et Brenda, on en parle de la réelle raison ? À cause du pontife du Bénin (Samuel Eto'o Fils), on va vraiment te manquer de respect, donc calme toi très vite », écrit Zang.

Dans un autre post, il continue avec des mots très forts : « Un gigolo patenté comme Prince Ndedi Eyango ne peut pas parler de Joseph Antoine Bell. Pas tant que je vis. Ah oui, je vais acheter ce problème. Voilà le président Paul Biya. C'est de notoriété publique que c'est un mélomane de la musique classique et de l'opéra. Les grands compositeurs de ce style n'ont aucun secret pour lui. Paul Biya ne s'intéresse que très peu à la musique camerounaise mais personne ne lui fait un procès pour cela ».

« Qui avait dit que parce qu'on est Camerounais, on doit apprécier obligatoirement la musique camerounaise ? Est-ce que tous les Camerounais apprécient la musique camerounaise ? C'est d'ailleurs forcé d'apprécier la musique camerounaise ? », s’interroge l’activiste.