Actualités of Wednesday, 22 March 2023

Source: www.camerounweb.com

Mauvaise nouvelle : Bruno Bidjang de nouveau à la barre, vive inquiétude à Vision 4

Le soutien de Bruno Bidjang à Amougou Belinga passe mal Le soutien de Bruno Bidjang à Amougou Belinga passe mal

Il ne fait pas bon vivre ces temps-ci quand on s’appelle Bruno Bidjang. Le présentateur de Vision 4 et directeur général du groupe L’Anecdote a été coincé dans l’affaire du journaliste assassiné Martinez Zogo, tout comme son patron Jean-Pierre Amougou Belinga. Seulement Bruno Bidjang a été relâché et grâce à sa position de seul commandant à bord, il essaie d’aider comme il le peut Jean-Pierre Amougou Belinga, quitte à jeter des personnes en pâture, comme l’auteur du texte ci-dessous qui n’a pas manqué d’exprimer sa colère vis-à-vis de Bruno Bidjang.

« Affaire Martinez, les manigances d'un petit affamé. Le comédien journaleux à qui le professeur Bahebeck avait demandé de retourner en fac décrocher quelques prérequis, a décidé - dans sa haine débordante et sa défense à tout prix du tube digestif - de mettre ma photo dans l'un de ses tas d'ordures qu'il qualifie de presse.

De vraies feuilles de manioc qu'on ne retrouve que dans des groupes WhatsApp où ils errent à longueur de journée. Il ne me cite nulle part dans son ramassis, mais se permet d'utiliser ma photo pour illustrer ses vomissures.

L'argument que ce petit mange-mil avance c'est qu'il n'y avait que ma photo pour bien illustrer la défense de son œsophage. Un vrai tintin qui s'essaye encore dans les grimaces. Un vrai tintin parce que le choix de ma photo répond à une seule motivation : me présenter comme un haineux du réseau à qui il fait les yeux doux ; réduire mon combat pour Martinez en la simple exécution d'une commande des officines qui veulent détruire ses héros.

Cher aîné Essomba Timothée, arrêtez de m'associer à votre journalisme de petit mendiant. Je suis plus violent que vous. Si Yaoundé 2 ne vous a pas souri, trouvez-vous un job plus noble, donc moins ridicule. Si voulez plaire à Jean-Pierre Amougou Belinga, faites-le sans essayer de me jeter en pâture.

Vous ne me citez nulle part dans vos racontages de sous-quartier, mais curieusement, ma photo se trouve en vedette pour insinuer malhonnêtement que je suis concerné pas vos histoires à dormir debout. C'est encore quelle marque de journalisme ça, celle du tube digestif ?

On vous aura dit que le PDG d'Equinoxe distribue de l'argent et vous vous êtes dit qu'il est temps, pour vous d'aller aussi gratter votre part ? La misère. Et le petit villageois n'a même pas le courage de signer ses inepties.

A ce que je sache, depuis le début, j'ai une seule question : Qui a tué Martinez ? C'est tout. Et cette question, je l'adresse à une seule personne, celui qui a pris librement l'engagement en 2018 de continuer à diriger le pays malgré ses incapacités et le bilan foireux de ses quarante (40) ans de règne sans partage.

Le reste ne m'a jamais intéressé. C'est Paul Biya qui doit nous dire qui a tué Martinez. Et en attendant sa réponse, nous le tenons d'abord pour responsable principal de la situation. Parce qu'en tant que chef de l'État, il a laissé le régime des assassinats impunis prospérer dans notre pays.

Je puis vous rassurer que l'insertion de mon image dans votre brouillon de journal ne vous procurera aucun revenu. Vous récolterez plutôt le karma. Je sais être sauvage hein. Pauvre type », texte signé par Aristide M. et relayé par le journaliste Rémy Ngono.

L'auteur de la sortie virulente accuse Bruno Bidjang de diffamation et propos mensongers, un délit puni par la loi camerounaise.