Actualités of Monday, 17 October 2022

Source: Le Pélican N°658

REVELATION : 'Ferdinand Ngoh Ngoh fait peur aux ennemis du Cameroun'

NGOH NGOH rabat le caquet de ses contempteurs NGOH NGOH rabat le caquet de ses contempteurs

Décidément, ceux qui veulent voir le Cameroun sombrer dans le chaos, ne manquent pas de stratagèmes pour peindre en noir tout ce que les pouvoirs publics font .C’est le cas depuis bientôt trois ans avec les contempteurs du Ministre d’Etat, Secrétaire général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh qui, tant sur la toile, dans la presse écrite ou celle audiovisuelle, ont traité le collaborateur du Chef de l’Etat de tous les maux. Ils sont même allés très loin en indiquant que les deux compétitions sportives à savoir le Chan et la Can ne pourront se tenir en terre camerounaise faute d’infrastructures sportives de qualité .Seulement, avec la réhabilitation de plusieurs stades pour compétitions et ceux dédiés aux entrainements ainsi que la construction à terme du stade de Japoma qui précède celle de l’impressionnant stade de Paul Biya à Olembe sis à Yaoundé, avec la tenue effective du Chan au Cameroun et ce, en présence du patron du football mondial en la personne de Gianni Infantino président de la FIFA qui n’a pas caché son émerveillement face à l’engagement du Chef de l’Etat à offrir des stades modernes à sa jeunesse surtout dans un contexte économique et celui sanitaire difficiles, tous ceux qui s’agitaient sur la toile et bavardaient dans les radios et télévisions et qui sont curieusement muets avec l’organisation réussie du Chan ien début d’années 2021,ont recommencé par médias interposés à verser leur bile sur le Ministre d’Etat, Secrétaire Général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh et la task force qu’il pilote alors que le Ministre d’État,SG/PRC qui n’agit que d’Ordre du Président, conduit très bien jusqu’à présent, les dossiers y afférents qui lui sont confiés.

Suite au retrait, le 30 novembre 2018, de l’organisation de la Coupe d’Afrique des nations de football (CAN) en 2019 pour retards dans les infrastructures et l’insécurité, le gouvernement camerounais s’était réuni à Yaoundé, le 5 décembre 2018, pour faire le point sur cette décision du comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF. C’était sous l’égide du Premier ministre d’alors. L’un des exposés qui avait marqué cette réunion gouvernementale était celui du ministre des Sports et de l’éducation physique, en tant que responsable du secteur sportif avait alors indiqué parlant des procédures, que : « la lourdeur et la complexité de certaines de celles-ci [], ajoutées à l’implication timide dans le processus de certaines structures et administrations, ont aggravé les retards des travaux dans divers sites». A la fin de son exposé, le Minsep avait déclaré que, l’hypothèse proposée au Cameroun par la CAF d’organiser la CAN en 2021 serait favorable dans la mesure où elle permettrait de mettre en place progressivement et rationnellement toutes infrastructures requises, sans pression extérieure.

Cette hypothèse accorderait aussi plus de temps au gouvernement pour achever la pacification entamée dans les régions en crise du Nord-Ouest et du Sud. A la fin des travaux, les membres du gouvernement ont convenu, après arbitrage du Premier ministre, d’adhérer à l’alternative d’une substitution de la CAN 2019 par celle de 2021, initialement attribuée à la Côte d’Ivoire.

L’avalanche des tirs groupés contre NGOH NGOH

Seulement, juste après cette importante concertation gouvernementale, ils sont nombreux même au sein du gouvernement qui ont monté des journaux, rédigés des articles contre celui qui n’était que Ministre, Secrétaire Général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh .Tout a été négativement mis à son actif. Du mauvais choix des entreprises appelées à exécuter les travaux à l’accaparement de tous les pouvoirs dédiés aux ministres sectoriels impliqués dans la construction de ces infrastructures sportives et de leurs voies d’accès.

Ils ont tout dit sauf la vérité. Cette vérité qui révèle que : soucieux d’offrir au Cameroun des infrastructures sportives de qualité, le Chef de l’Etat, S.E Paul Biya, face à certaines insuffisances constatées dans la réalisation effectives des travaux y afférents a tenu à veiller personnellement sur la bonne marche de ceux-ci afin que la nouvelle date arrêté pour la tenue de la CAN en terre camerounaise ne connaisse plus de renvoi faute des infrastructures. Afin que cette veille ne souffre d’aucune ambiguïté, le Ministre d’Etat, Secrétaire Général de la Présidence de la République reçu instruction de coordonner tous les aspects liés à la construction de ces stades et de leurs voies d’accès. Dès lors, la campagne de sabotage contre le MINETAT SGPR a doublé d’intensité. Certains ont même dit parlant du Chan qu’il ne pourra pas se tenir au Cameroun car le pays ne dispose pas de stades à même d’accueillir pareille compétition

NGOH NGOH rabat le caquet de ses contempteurs

Face à toute cette cabale contre sa personne, une cabale qui a touché à son honorabilité, le Ministre d’Etat, Secrétaire général de la présidence de la République est resté de marbre. Il n’a pas réagi en utilisant les mêmes canaux que ses contempteurs, il s’est juste résolu en bon serviteur qu’il est, à suivre à la lettre, les instructions de son patron, le Président Paul Biya. Aujourd’hui, la meilleure réponse apportée à tous ceux qui n’ont pas de mauvaise foi cru en la réalisation effective de ces travaux est incontestablement la tenue effective du Chan en terre camerounaise depuis le 16 janvier 2021 ceci sur des stades ultra-modernes. Tous ceux qui ont agité la toile entretemps, ont face à cette réplique adossée sur des faits concrets que sur des élucubrations, perdu leurs voix respectives .c’est le calme plat. Ce d’autant plus que, les responsables du football à l’échelle mondiale au premier rang desquels, Gianni Infantino, le président de la FIFA, ont apprécié positivement ces réalisations qui découlent de l’engagement ferme du Chef de l’Etat à donner entière satisfaction à la jeunesse de son pays.