Actualités of Tuesday, 9 November 2021

Source: www.camerounweb.com

Satanisme à Yaoundé: ' pour réussir, je devais me faire sodom3ser par des Pontes du régime'

Paul Biya entouré de ses hommes de main Paul Biya entouré de ses hommes de main

• Les pontes du régime Biya accusés de promouvoir la jeunesse par le satanisme

• Un ex officier de l'armée révèle comment ils élèvent leurs proies au rend de des élites satanistes

• Un journaliste qui a refusé de se conformer "au satanisme", a vécu l'enfer




Ils sont nombreux à dénoncer le satanisme, l'homosexualité érigé en mode de gouvernance et de promotion de la jeunesse camerounaise à l'instar de Patrice Nouma. L'ex officier de l'armée , en exil pour ne pas se conformer à ces pratiques, s'en est encore pris au régime Biya l'accusant de détruire la relève de demain dans une récente sortie.

" Nous sommes face à système qui a tout banalisé pour promouvoir les valeurs de leur dieux sataniques. Leurs dieux vivent des dépravations des mœurs. (…) Vous avez le décret et vous avez les conditions qui accompagnent ce décret pour vous élever au rang des élites satanistes, au rang des ministres. Vous avez des artistes, vous avez des journalistes, des sportifs", s'indigne-t-il. Il n'est pas le seul à porter ce flambeau pour éclairer l'opinion sur ces pratiques sataniques, il y a aussi Jean-Claude Mbede qui monte au créneau pour partager son triste calavaire qu'il a subi lorsqu'il voulait en tant que jeune, réaliser son rêve. Il s'est heurté à une horde de "pervers satanistes", dit-il, qui veulent le soumettre à leurs pratiques. Son refus lui a failli coûter sa vie.

"Pour avoir voulu réaliser mon rêve, je devais me faire SO-DO-MI-SER par certains Pontes du régime. Depuis cet instant, ma vie avait basculé. Car, au Cameroun, les victimes sont vite jetées en pâture et personne ne veut croire qu’ils ont vécu leur drame et calvaire. La suite vous la connaissez. J’écrivis une lettre incendiare en 2004 pour dénoncer et dire que je voulais que l’on me laisse tranquille. (Journaux disponibles). Je remis ma démission de STV. Mais pour mieux défier ce système, j’avais décidé de créer Radio FM Liberté qui fut fermée et moi même arrêté pour être déféré à Mfou", décrit-t-il avant de poursuivre qu'il préfère garder sa dignité que de la souiller. Pour cela, il a usé de tous les moyens pour fuir le Cameroun en passant par le Nigeria.

Aujourd'hui, le journaliste se porte garant de la jeunesse camerounaise en les avisant, les aidant, les guidant surtout ceux qui viennent à lui ou ceux qui sont dans son entourage. Car dit-il, son expérience lui a montré toute la véracité des propos de feu Charles Eyene Ateba. Il disait la vérité à l'opinion mais personne ne prêtait attention.

Comme mode opératoire, dit-il, ces pontes du régime te font miroiter les choses, te mettent en valeur, te font sentir important des fois plus qu'eux mêmes. "Chaque fois que l’on m’invitait, au lieu de me parler de la suite réservée à ma demande d’interview, on me baladait d’un ministre à un autre, pour m’expliquer que j’étais brillant, intelligent, travaillais bien, mais que, pour interviewer le président, je devais me faire « initier » par certaines personnalités. SACRILÈGE extrême pour mon âme pieuse", décrit-il.

Ils vont jusqu'à dit-il, le courtiser en discrétion. " Certains furent diplomatiques, fins, en essayant de me courtiser avec la sensualité de Gaëlle Enganamouit devant Khalifa. D’autres comme le « zomloa » y allèrent d’intimidations en intimidations", déclare Jean-Claude Mbede.

Triste constat que font ces victimes du régime Biya dans le sérail camerounais. Ces personnalités que Patrice Nouma appelle les adeptes de Satan se recrutent dans toutes les couches sociales du Cameroun.


Les rêves, les jeunes et moi!
Dans l’enfance j’ai eu un coup de foudre pour deux rêves : être prêtre d’abord, et devenir journaliste ensuite. Jusqu’en classe de troisième , lorsque soudain, je vis mon modèle Charles Ndongo présenter le journal à la télévision.
À Mbalmayo ma ville natale , en me voyant et en n’écoutant. tout le Monde était unanime que j’allais devenir un grand journaliste.

Les vrais problèmes furent lorsque, en 2003, en prélude de l’élection présidentielle, le jeune correspondant de Radio Vatican et de la VOA, j’avais écrit une lettre au Cabinet civil, pour interviewer le président de la République, et en savoir sur ses intentions pour 2004. Avant tout, quand on est jeune, et qu’on rêve de devenir journaliste, c’est pour présenter le journal, faire de reportages importants et … interviewer un jour, le chef de l’état.

C’est de la volonté de réaliser ce rêve que les réseaux mafieux qui ont pris le pays en otage (y compris le président) ont commencé à briser mes rêves d’enfants et c’est ainsi qu’ils détruisent des carrières et les rêves de jeunes.
Chaque fois que l’on m’invitait, au lieu de me parler de la suite réservée à ma demande d’interview, on me baladait d’un ministre à un autre, pour m’expliquer que j’étais brillant, intelligent, travaillais bien, mais que, pour interviewer le président, je devais me faire « initier » par certaines personnalités.
SACRILÈGE extrême pour mon âme pieuse. Certains furent diplomatiques, fins, en essayant de me courtiser avec la sensualité de Gaëlle Enganamouit devant Khalifa. D’autres comme le « zomloa » y allèrent d’intimidations en intimidations.

Bref, pour avoir voulu réaliser mon rêve, je devais me faire SO-DO-MI-SER par certains Pontes du régime. Depuis cet instant, ma vie avait basculé. Car, au Cameroun, les victimes sont vite jetées en pâture et perpdnne ne veut croire qu’ils ont vécu leur drame et calvaire. nLa suite vous la connaissez. J’écrivis une lettre incendiare en 2004 pour dénoncer et dire que je voulais que l’on me laisse tranquille. (Journaux disponibles). Je remis ma démission de STV. Mais pour mieux défier ce système, j’avais décidé de créer Radio FM Liberté qui fut fermée et moi même arrêté pour être déféré à Mfou.

Pour finir, depuis 15 ans, je ne mets plus les pieds au Cameroun que j’ai dû fuire en passant par le Nigeria. Sinon je serais mort comme Ateba Eyene. Depuis, j’ai dû résister à tout type de pressions, attaques, complots, calomnies, comme la corruption d’un jeune étudiant à qui l’on versa des millions pour porter mon nom et se faire passer pour un homosexuel. Mes collègues journalistes furent mis à contribution pour faire un grand bruit autour de ce sinistre personnage avec interdiction de faire allusion à moi qui avais travaillé avec eux pendant dix ans.
Et comme on ne s’attaque pas à un fils de Dieu, ce sinistre personnage #RogerJeanClaudeMbede a été assassiné par ses créateurs. Et depuis lors, tous les jeunes et vieux du showbiz , de la politique, de la culture ou du sport, adeptes du satanisme se sont passés le mot pour me museler.

Chaque fois que je publie, ils disent que je recherche la visibilité. Car le seul cadeau qu’on leur donne dans le satanisme c’est la visibilité. Ils redoutent un être pur qui aurait de la visibilité sans faire de partouze.
En observant bien la scène, ni les leaders politiques du pouvoirs m, ni ceux de l’opposition, ne parlent de moi. Publiquement. Car tous ont les sectes en partage . Et leur solidarité est inéquivoque.

Je suis une des personnalités les plus évoquée au Cameroun dans le japap en privé, pourtant publiquement et officiellement personne ne me connaît .
Ils redoutent que je sois « visible « , car je pourrais ouvrir les yeux à la jeunesse en racontant mon histoire. Or, j’ai décidé de les affronter et afin de les dénoncer. Et sensibiliser les JEUNES. C’est ce que je fais.

Alors, pour passer les messages, j’use des thèmes de proximité pour que les jeunes comprennent. Je parle de Miss Cameroun, la FECAFOOT, les concours des grandes écoles , la politique… Je suis très sensible chaque fois que je vois un jeune en difficulté car je connais ce réseau. Je pleure pour deux raisons: d’abord pour ce que vivent les jeunes et pour le traitement que ces jeunes courageux qui dénoncent, subissent de la part de la société sensée les protéger.

Chaque fois qu’un jeune affronte ce réseau mafieux, je fais tout pour le soutenir au moins par mon témoignage, afin que cela le conforte. Et si jamais j’identifie une personne qui empêche de jeunes de vivre leurs rêves, je deviens presque criminel et tout ce que j’ai traversé ces années me revient.

Si surtout, je soupçonne que la personne qui veut voler le rêve à d’autres jeunes est un jeune qui fait équipe avec les loges e rôles sectes (la pederastie c’est la sorcellerie au Cameroun) alors je deviens violent. C’est ce qui justifie que je sois très actif dans ce secteur.

Quand une jeune fille méritante quiavait ses rêves légitime est éjectée du concours Miss Cameroun. Quand un jeune est empêché d’entrer à l’Enam. Quand un jeune doit d’abord se compromettre pour jouer au foot.
Quand un jeune bourré de talent est maltraité dans une entreprise parce qu’il refuse de vendre son âme au diable . Quand un jeune doit d’abord être abusé et filmé nu pour trouver du travail… je suis très sensible.

Pourtant, Je suis enseignant d’université et travaille dans la fonction publique internationale. Je change de pays de mission tous les deux- trois ans. J’ai déjà fait les cinq continents. J’aurais pu me contenter de mon confort pour croquer la vie après tant de batailles. Mais j’ai choisi de rester ici, au quotidien, pour combattre aux côtés de jeunes abusés.

Je ne connais pas beaucoup de camerounais qui ont fui et qui ont réussi à faire ce que je fais à l’étranger avec toutes les batailles qui m’ont été imposées.
Quand vous parlez avec moi, sachez que je suis un « type s’en fout ». Si vous voyez votre frère ou soeur qui se perd en venant m’affronter, enlevez le vite avant qu’il ne lui le pire.

La JUSTICE et l’équité sociale, c’est le combat de ma vie.
Je défends depuis presque 17 ans, les rêves des jeunes. Et leur passion noble et légitime.
Je suis #lastardedieu