Infos Sports of Tuesday, 12 July 2022

Source: www.camerounweb.com

Affaire des 560 millions : la Fecafoot détruit son 'mandataire' Eboa Elame Mikado

La Fecafoot contredit Eboa Elame Mikado La Fecafoot contredit Eboa Elame Mikado


• La Fecafoot sort du silence

• Elle n’a pas mandaté Eboa Elame Mikado

• Celui-ci a prétendu le contraire

Dans un communiqué fait à Yaoundé (capitale politique du Cameroun) mardi le 12 juillet 2022, le chef de département Communication de la Fecafoot, Ernest Obama a tenu à faire quelques précisions. Elles sont relatives à la présence de l’ancien journaliste de la CRTV, Eboa Elame Mikado dans une émission télévisée.

Le Camerounais Eboa Elame Mikado a affirmé avoir été envoyé par la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) présidée par Samuel Eto'o Fils.

L’ancien de la CRTV a participé à une émission sur la télévision Vision 4 au nom de la Fédération camerounaise de football. Pourtant, il n’en a pas reçu l’autorisation si on se fie aux propos du communicant de la Fecafoot Ernest Obama.

En effet, c’est lundi le 11 juillet 2022 que Boney Philippe a organisé un débat dans l’émission, Africa Vision Sport. Celui-ci portait sur la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) et le thème était : « Affaire des 560 millions : on sait qui a pris les fonds ».

Eboa Elame Mikado était bien sur le plateau. Il a dit qu’il a été mandaté la Fecafoot. Faux, rétorque le camp de Samuel Eto'o Fils dans le communiqué publié ci-dessous dans son intégralité.

La Fédération Camerounaise de Football (FECAFFOT) porte à l'attention de l'opinion publique qu'au cours d'une émission diffusée le lundi 11 juillet 2022 sur la chaîne privée Vision 4, Monsieur EBOA ELAME MIKADO, ancien journaliste à la Cameroun Radio Television (CRTV), s'est prévalu du titre de mandataire de la FECAFOOT.

La FECAFOOT apporte un démenti formel à ces allégations. La fédération n'a désigné aucun mandataire pour prendre part à ladite émission. Elle entend d'ailleurs tirer les conséquences légales de cette imposture qui tend à ternir l'image de l'instance faîtière du football camerounais.

Les auteurs de tels actes à l'avenir s'exposent à des poursuites judiciaires conformément aux lois en vigueur.