Une nouvelle controverse secoue l'équipe nationale de football du Cameroun, les Lions Indomptables, notamment des tensions croissantes entre le sélectionneur Marc Brys et certains membres de l'encadrement. Au cœur de cette affaire, des accusations d'agressions physiques et verbales que le journaliste Thierry Ndoh vient fermement démentir.
Marc Brys, le technicien belge à la tête de la sélection camerounaise, a fait des déclarations choc dans sa réponse à la FECAFOOT, affirmant avoir été physiquement agressé par Thierry Ndoh lors du dernier déplacement de l'équipe en Angola. Le sélectionneur a également pointé du doigt Benoît Angbwa, coordinateur des sélections nationales, l'accusant d'agression verbale, et le Docteur Fotso, qu'il accuse d'avoir tenté de l'expulser du bus de l'équipe.
Face à ces allégations, Thierry Ndoh, journaliste réputé pour sa modération et son professionnalisme, a vivement réagi, qualifiant ces accusations de "fausses et diffamatoires". Dans une déclaration exclusive, Ndoh a catégoriquement nié toute implication dans une quelconque agression : "Je ne l'ai jamais attaqué, si oui, pourquoi ?", s'est-il interrogé, rejetant ainsi les affirmations de Brys.
Le journaliste a également pris la défense du Dr Fotso et de Benoît Angbwa, assurant que les événements décrits par Brys n'ont jamais eu lieu. Selon Ndoh, c'est au contraire Angbwa qui serait victime d'agressions répétées. Il a notamment évoqué un incident à l'aéroport de Nsimalen, où Banlock, coordinateur nommé par le gouvernement, aurait "violemment arraché sa casquette et l'a jetée au sol", le tout en présence des forces de l'ordre.
«Je ne l'ai jamais attaqué, si oui, pourquoi ? Le Dr Fotso n'est jamais monté dans le bus à Luanda pour le faire sortir de force. Quant au coordinateur, il n'a jamais fait ce dont Marc Brys l'accuse. Au contraire, c'est lui qui est attaqué à chaque fois. A Nsimalen, Banlock ( Coordonnateur des sélections nommé par le gouvernement, ndlr) a violemment arraché sa casquette et l'a jetée au sol. Il n'a pas cédé à la provocation et cela s'est fait devant les policiers » a expliqué Thierry Ndoh.