C’est l’une des déclarations faite par l’international camerounais face à la presse ce mercredi 15 novembre 2017 à douala.
Trêve internationale oblige plusieurs internationaux camerounais sont au pays et la saison du championnat chinois étant arrivé a son terme, le footballeur international Christian Bassogog révélation et meilleur joueur de la dernière CAN au Gabon a choisi de rencontrer les hommes et femmes de media pour parler de son actualité.
Devant les journalistes de douala, le joueur a évoqué tous les aspects de sa carrière et plus exactement sur son choix de carrière d’aller jouer en chine a son jeune âge. Sur ces inquiétudes, le garçon de Ngangue a déclaré qu’il faisait confiance à son équipe managériale qui gère en même temps que lui sa carrière et ses choix et concernant celui de signer en chine, il ne le regrettait pas.
Celui qui a terminé meilleur buteur de sa formation le Henan Jinya avec 10 buts et 07 passes décisives a aussi souligné qu’il n’était par sourd aux multiples sollicitations dont il fait l’objet mais toujours est il qu’en cette période de trêve, il compte profiter de ces vacances paisiblement dans son Cameroun natal et on en parlera des le début de la saison.
Sur la question de sa blessure, il a rassuré les journalistes en indiquant qu’il se remet à un rythme très satisfaisant et pense être d’attaque dans très peu temps.
A propos de ses relations avec les sélectionneurs national qui a eu des propos jugés tendancieux en son endroit dernièrement il a déclaré ; « je ne pense que le coach ai voulu me nuire ou nuire a ma carrière , il a juste voulu me booster le moral et me faire comprendre que j’avais les capacités pour faire mieux et que je devais me mettre au travail pour être meilleur et je pense que le message est passé »
Sur la non participation des lions indomptables au mondial russe de l’année prochaine, Christian Bassogog avoue être très déçu mais ne pense pas être le seul responsable de cette débâcle car dans un sport collectif comme le football, les victoires comme les défaites se doivent d’être collectives il n’a donc pas les épaules pour endosser tout seul la responsabilité de cet échec malheureux.