• Véron Mosengo-Omba, il y a quelques jours s’était montré véhément envers les autorités camerounaises
• Il a curieusement changé de veste lors de l’Assemblé générale de la CAF
• L’opinion se pose des questions
L’Assemblée générale de la Confédération africaine de football tenue ce 26 novembre au Caire continue d’alimenter l’actualité, en raison des décisions et déclarations qui ont meublées cette rencontre autour la prochaine CAN. Le principal sujet qui a retenu les attentions lors de ce rendez-vous très capital reste le sort du Cameroun en ce qui concerne la prochaine CAN TotalEnergies 2021. Ceci puisqu’auparavant, le mercure était monté entre la CAF et le Cameroun concernant le maintien ou non de la cérémonie d’ouverture au Stade d’Olembé qui n’est pas encore prêt. Le Secrétaire la CAF s’était montré assez intraitable et véhément envers le Cameroun et ses autorités. Seulement, lors de cette Assemblée Générale, il a fait un revirement à 180° comme d’ailleurs l’ensemble des responsables de la CAF.
Le Secrétaire Général Véron Mosengo-Omba répondant à une préoccupation qui reprochait en plus aux responsables de la CAF leur manque de respect envers le Cameroun par des sorties humiliantes pour cette grande nation de football, affirme « qu’il n’y a aucun problème entre la CAF et l’état du Cameroun, aucun entre la CAF et les dirigeants camerounais. La CAF est une institution respectée et très respectueuse des États. Elle a des canaux officiels pour s’exprimer, pour ses correspondances. Alors si vous déformez ou êtes victimes de déformation des propos des officiels, cela vous engage. Il existe des canaux officiels, privés et non publics pour correspondre avec des dirigeants des Etats. Si on a manqué de respect à qui que ce soit, par le contenu de notre correspondance, je présenterai mes excuses. Je peux vous rassurer qu’entre les autorités camerounaises et celles de la CAF, il n’y a aucun problème. ».
Ce revirement a laissé pantois plus d’un. Beaucoup se demandent ce qui a bien pu se passer entre les responsables de la CAF et les autorités Camerounaises envoyées en catastrophe au Caire pour sauver les meubles.