• Le Nigéria a battu l’Egypte sur la plus petites des marques (1-0)

• Les Pharaons, également favoris de la compétition ratent leur entrée en piste

• Le Nigéria frappe un bon coup

C’est le gros choc de la journée. L’Egypte et le Nigéria, deux vainqueurs de la compétition ont livré un mal de belle facture. Mais le football se joue à 11 mais à la fin, c’est le Nigéria qui gagne, est-on tenté de dire.
Le Nigéria a fait la différence dans cette rencontre dans la première période de la rencontre. Il va falloir attendre la 30ème minute pour voir d'Iheanacho mettre belle frappe dans la lucarne des Pharaons! « Simon centre dans la surface et son ballon est dégagé par la défense directement sur Aribo. Le joueur remet de la tête vers Ihenacho qui contrôle de la poitrine et marque d'une demi-volée somptueuse du gauche ».

L'Egypte reste le pays le plus titré de la CAN avec 7 sacres a peiné à exister dans son match d'ouverture. Les Super Eagles sont montés en puissance, à l'image d'un Simon très actif à gauche, et ont été récompensés à la demi-heure de jeu par une belle ouverture du score signée Iheanacho.

Alors que Salah et les siens sont forcés de réagir dans la seconde mi-temps, ils n’ont rien pu faire pour mettre le danger dans le camp adverse. Malgré le Changement effectué à la pause avec le remplacement de Aboul-Fetouh par Ashraf, rien n’a bougé. Le Nigéria a failli même doubler la mise. A la 48ème minute, les Super Eagles a trouvé la transversale.

« Aina s'arrache proche de la ligne de sortie de but pour centrer au premier poteau. Awoniyi place sa reprise de la tête à bout portant, mais El-Shenawy repousse du bout des doigts sur l'intérieur de sa transversale et le ballon rebondit sur la ligne de but »

A la 71' Salah a manqué de justesse l'égalisation.« Sayed Zizo envoie un ballon piqué dans le dos de la défense pour servir l'appel de Salah. L'attaquant de Liverpool s'emmène le ballon jusqu'au point de penalty, puis tente d'ajuster du gauche. Il bute face à Okoye, auteur d'une sortie décisive ».


Le score va rester inchangé jusqu’au coup de sifflé final