Infos Sports of Wednesday, 13 July 2016

Source: cameroon-tribune.cm

CAN féminine: La contribution de la Sopecam sollicitée

Siège de la SOPECAM Siège de la SOPECAM

Des prix patriotiques. C’est ce qu’attend la commission de communication du Comité d’organisation local du championnat d’Afrique des nations 2016 de la part de la Société de presse et d’Editions du Cameroun (SOPECAM).

La compétition est prévue du 19 novembre au 3 décembre dans les villes de Limbé et Yaoundé. Et dans le cadre de son travail, la commission de communication a prévu d’éditer un mois avant la CAN, un magazine de 60 pages tiré à 20 000 exemplaires et pendant la compétition, un quotidien, tabloïd, lui, tiré à 6000 exemplaires et tous deux imprimés par la SOPECAM.

Pour son site web, elle envisage de reprendre à son compte et de manière gracieuse, des articles liés à la compétition et publiés dans les colonnes de CT. La démarche est effectuée pour éviter de voir la Commission être accusée de plagiat.

Ces doléances et d’autres ont été présentées mardi au cours d’une réunion tenue au siège de l’entreprise à Yaoundé et conduite par le directeur général adjoint, Shey Peter Mabu. Ce dernier a d’ailleurs reconnu la nécessité de travailler en équipe pour le succès de cet événement. D’ailleurs, à la direction de la Rédaction de Cameroon Tribune, Martin Badjang ba Nken, le directeur, laisse savoir qu’un compte à rebours est programmé et sera lancé à un mois de l’événement, comme le souhaitent les hôtes.

Quid des images ? A la commission de communication, on souhaite aussi bénéficier de la photothèque de SOPECAM. D’après nos sources, le quotidien annoncé sera distribué gratuitement et mettra l’accent sur les photos, d’où l’importance de travailler avec les archives-photos de l’entreprise. Jean Lambert Nang, le président de la commission de communication, dit savoir prêcher devant un disciple acquis, au regard des difficultés à fonctionner que ses collaborateurs et lui rencontrent. « Nous venons ici parce que nous avons foi que les prix qui seront pratiqués relèveront du domaine du patriotisme », est-il convaincu.