Infos Sports of Thursday, 12 January 2023

Source: www.camerounweb.com

Conditions floues : les révélations choquantes sur la mort du journaliste algérien passé par le Cameroun

Le malaria n'est pas la seule explication Le malaria n'est pas la seule explication

A 36 ans, un journaliste sportif algérien a perdu la vie le 11 décembre dernier après des mois de souffrance due au paludisme qu’il a contracté au Cameroun.

En effet, Hamza Berkaoui, le journaliste sportif d’Echorouk est décédé le matin du 11 décembre 2023. Toutes les sources indexent le paludisme comme principale cause de la mort de ce dernier. Les médias algériens en ont longuement parlé le 11 décembre et continuent de le faire.

Mais plusieurs questions sont posées. Comment peut-on mourir du paludisme même après 1 an de traitement ? Est-ce qu’il y aurait une autre cause cachée ? Il sied de préciser que la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) s’est déroulée en janvier 2022 au Cameroun et le journaliste algérien était envoyé par le média dans lequel il était en poste.

Selon le média Algérien 360, la malaria n’est pas la seule explication à cette mort mystérieuse. Il indique que l’état de santé de l’ex journaliste s’est détérioré après avoir été contaminé par la Covid-19.

Un témoignage publié par le site décrit l’état de santé de Hamza Berkaoui et ce qu’il a dû traverser. « Hamza a poursuivi son traitement en Algérie. Il a pris tous les médicaments que le médecin lui a prescrit…Il s’est avéré que la malaria lui a causé des taches dans les poumons, avant d’attaquer le foie, lui causant aussi l’hépatite…Ce n’est plus Hamza le journaliste vivant qu’on a toujours connu.

Il est devenu une personne qui sent le sommeil toute la journée. On lui a toujours autorisé de rentrer chez lui pour se reposer », témoigne son collègue et ami Mohamed Bouroubi qui a passé du temps avec le défunt dans ses derniers instants.

« Hamza a passé plusieurs examens médicaux afin de connaitre davantage de quoi il souffre exactement. Il a passé toutes les radios, IRM, échographie, scanner, mais les médecins n’ont pu diagnostiquer sa maladie.
Un jour il m’a dit : et si je suis atteint du cancer ? Est-ce que les médecins me cachent quelque chose ? Je veux aller faire une Omra. Je veux voir les lieux saints et j’accepte le destin que m’a réservé le bon Dieu », dévoile-t-il.

Après ces dires, le constat est flagrant : le paludisme n’est pas seulement la cause derrière la mort du journaliste algérien. Qu’est-ce qui a bien pu se passer au Cameroun pour que ce dernier meurt dans ces conditions ? La question reste posée.

Le défunt a été inhumé ce mercredi après-midi après la prière d’Al-Assar au cimetière de Réghaia dans l’est de d’Alger. Il était journaliste sportif de la chaine d’information Echorouk News.