• La FECAFOOT et Samuel Eto’o sont serein
• L’équipementier annonce des poursuites
• Une source met tout au clair
La fin de l’équipementier français est déjà consommée. Le Coq Sportif annonce des poursuites judiciaires si véritablement Samuel Eto’o et la fédération camerounaise de football maintiennent la rupture avec l’équipementier.
Une vidéo abondamment relayée sur les réseaux sociaux donne raison au président de la fédération camerounaise de football qui d’ailleurs se montre très serein. On annonce déjà dans les coulisses que l’équipementier allemand Puma serait déjà le favori pour remplacer le Coq Sportif.
« Ainsi donc l’équipementier Coq sportif traine la Fécafoot au tribunal. Voilà une bonne nouvelle. Cette action va obliger le plaignant à produire le contrat tant attendu. La Fécafoot actuelle n’a rien à craindre de ce procès. Au contraire, il va permettre de mettre à nu l’incurie et la mafia autour du contrat signé entre l’ancien exécutif de la Fécafoot et l’équipementier », peut-on entendre dans la vidéo abondamment relayée sur les réseaux sociaux.
« Le partenariat Fécafoot et Coq sportif est une histoire rocambolesque que les responsables de la Fédération camerounaise de football ne veulent pas ébruiter pour le moment. C’est une mafia qu’on demande à l’équipe de Samuel Eto’o de couvrir. Mieux, d’accepter en silence. (…) Fécafoot versus Seidou Mbombo a signé avec le Coq en contrepartie de la fourniture des équipements aux différentes catégories des équipes de foot de notre pays, et d’un financement annuel qui s’élèverait à 250 millions de Fcfa », poursuit-on.
« Elle demande au Coq sportif de lui communiquer une copie. Refus sec, au motif que l’actuel président n’est pas le signataire du contrat. Mais Samuel Eto’o et son équipe doivent assumer ce partenariat. Après un délai d’attente, et une série d’actes négatifs de la part du sponsor, la décision de rompre le contrat est prise au terme d’une réunion du comité exécutif. Pour plusieurs raisons insoupçonnables pour le public », peut-on entendre.