L’exhibitionnisme dans les tribunes camerounaises devient une habitude pour les supportrices camerounaises. Il y a quelques jours, le monde entier a vu les images d’une jeune femme qui a laissé une grosse partie de ses seins dehors pour montrer à tous ce qu’elle avait pris le soin de dessiner sur sa poitrine.

Les photos ont très rapidement fait le tour des réseaux sociaux. La fanatique apparente du président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) Samuel Eto'o Fils avait fait peindre sur sa poitrine le drapeau camerounais.

Mais encore, elle a écrit de façon très visible le nom du boss de la fédération Samuel Eto'o Fils comme pour lui dire qu’elle apprécie beaucoup sa personnalité et son travail au niveau de l’instance dirigeante de football.

Les internautes ont vu dans ce geste une volonté d’attirer l’attention de l’ancien Lion indomptable Samuel Eto'o Fils.

« Quand tu sens que tu n'as pas l'argent pour aller au Qatar supporter les Lions à la Coupe du monde et que tu décides de sortir ta dernière carte pour te faire remarquer et espérer qu'on va enfin te donner ton pass pour le Qatar. Espérons que Samuel Eto'o Fils ait compris les appels de balles », a écrit un utilisateur de Facebook.

Après, les personnes proches de la fanatique de Samuel Eto'o Fils ont également avoué que la jeune camerounaise voulait être dans les petits papiers du pichichi.

Maintenant, c’est une autre supportrice dont le geste fait couler beaucoup d’encre et de salive.

Elle n’a pas vraiment exposé ses parties intimes comme l’a fait la précédente mais son habillement laissait à désirer.

« Ce supporter de Bamboutos était aux anges pendant la rencontre face à Union », a posté MbockyCluture. Les photos ont été prises par Lenoir Records.



« Le gars se voit déjà sur le terrain en train de réaliser sa meilleure performance (…). Force est de constater que c'est le seul club qui fait bouger les stades avec coton sport (…). Il était dans trop de risques, si elle lâchait le missile air là hein, en tout cas je ne parle plus moi », répondent trois Camerounais qui ont vu les photos.