• L’ancien Lion est dans la course pour les élections à la Fecafoot

• Les élections sont prévues le 11 décembre prochain

• Jules Dénis ONANA croit toujours en ses chances


Le 11 décembre arrive à grand pas. En ce jour, à moins d’un retournement de situation, devrait se tenir les élections à la Fédération camerounaise de football. Les candidats se bousculent pour faire valoir leur chance à cette élection qui va décider de l’avenir du football camerounais. Si Samuel Eto’o et Seidou Mbombo Njoya concentrent à eux deux les attentions, un autre pourrait jouer le rôle de trouble-fête. C’est le cas Jules Denis Onana qui croit toujours en ses chances.

L’ancien Lion s’est confié au confrère kick442.com. Il assure qu’il peut créer la surprise. « À un mois de l’élection comme vous dites je suis prêt. Mes équipes et moi avons fait un travail formidable pour pénétrer la structure, comprendre ce qui ne va pas dans le football camerounais être au cœur de ce que vivent les footballeurs le travail a été fait. Il a été ordonné, il a été coordonné, nous savons exactement où il faut travailler pour que le football camerounais puisse renaitre. Donc à un mois de l’échéance, je suis prêt je suis confiant et je suis serein pour la suite », a-t-il déclaré.

Il a saisi ce créneau pour donner un aperçu sur son programme « Mon préambule peut vous permettre de savoir ce que contient mon livre il y’a différents axes que nous allons abordés et le titre en lui-même ‘’BACK TO THE ESSENTIAL’’ qui vise à mettre le footballeur au centre de notre projet est assez évocateur. Mes équipes on fait un travail formidable, nous avons pénétré, nous avons défini les différents angles d’attaques, nous savons ce qu’il faut faire pour que le football camerounais redécolle et cet ouvrage vous sera soumis bientôt dans une façon un peu plus épuré qui sera donné à lire et à comprendre d’ici peu nous allons organisé un diner pour les journalistes pour les permettre de discuter de découvrir déjà ce qui a été fait et de mieux comprendre notre pensée ce que nous voulons déroulé pour que le football camerounais se porte mieux », précise-t-il.

Tous ces chapelets de bonnes intentions vont-elles suffire pour convaincre les 76 délégués le jour j ? La question reste posée. Mais dans le cadre d’une élection tout peut arriver.