Le Portugal et l’Uruguay ont disputé chacun leur deuxième match de groupe de la Coupe du monde de football au Qatar. C’était lundi le 28 novembre 2022.

A l’arrivée, ce sont les coéquipiers de Cristiano Ronaldo qui l’ont emporté sur un score de deux (02) buts à zéro.

C’est le milieu de terrain de Manchester United Bruno Fernandes qui a inscrit à lui seul les deux (02) buts de la rencontre. Le deuxième était sur pénalty.

Les attaquants uruguayens Darwin Núñez et Edinson Cavani ont poussé sans trouver la faille dans la défense alignée par le Portugal, avec le vétéran Képler Laveran Lima Ferreira, surnommé Pepe.

Ensuite, le buteur infatigable Luis Suárez est entré en jeu pour apporter sa contribution mais cela n’a pas suffi à inquiéter les Portugais qui décrochent leur billet pour les huitièmes de finale de la compétition.

A un moment donné du match, un homme a fait irruption sur le terrain. Il s’appelle Mario Ferri. C'est un Italien militant de longue date pour les droits humains.

Sans craindre les éventuelles sanctions de la Fédération internationale de football association (FIFA) et du pays organisateur qui a établi des règles bien claires, Ferri a pénétré sur la pelouse du Lusail Stadium.

Il a brandi un drapeau arc-en-ciel en plein match entre le Portugal à l'Uruguay. Les joueurs étaient stupéfaits avant de le voir être plaqué par les agents de sécurité.

L’homme portait en outre un t-shirt Superman, avec une inscription appelant à sauver l'Ukraine. Derrière le t-shirt, on pouvait lire un appel à soutenir les droits des femmes en Iran.



Un internaute est surpris de constater qu’à « vouloir interdire ces symboles, le Qatar les a finalement promus ».

Le journaliste sportif italien Fabrizio Romano, spécialiste des transferts de joueurs dans le monde, a informé mardi le 29 novembre que son compatriote avait été libéré.

« L'envahisseur du terrain lors du match Portugal – Uruguay, l'Italien Mario Ferri vient d'annoncer qu'il a été libéré sans conséquence », écrit-il sur Facebook.