• Il y a eu une altercation à l’entraînement
• André Frank Zambo Anguissa et Victor Osimhen se sont accrochés
• Le problème est maintenant résolu
Comme l’informait il y a quelques jours la rédaction de CamerounWeb, le milieu de terrain et l’attaquant de Naples, André Frank Zambo Anguissa et Victor Osimhen sont impliqués dans un échange de mots houleux.
C’est le site d’informations Tuttonapoli.net qui a renseigné que « quelques mots déplacés de l’attaquant nigérian Victor Osimhen au milieu de terrain camerounais André Frank Zambo Anguissa ont obligé l’entraîneur de Naples, Luciano Spalletti à interrompre la séance d’entraînement et a renvoyé Osimhen au vestiaire ».
En réalité, le coach italien en charge de la formation napolitaine a demandé aux joueurs de mettre un peu plus d’intensité dans le jeu pour se mettre dans la peau de compétiteur à quelques semaines de la reprise du championnat.
Après cette consigne, André Frank Zambo Anguissa est allé sur Osimhen sans se retenir. S’il y a quelqu’un à qui il ne faut pas dire de jouer musclé, c’est bien le puissant milieu de terrain camerounais André Frank Zambo Anguissa.
La consigne suivie à la lettre par le Lion indomptable a finalement provoqué un accrochage entre les deux hommes (Victor Osimhen et André Frank Zambo Anguissa). Le Nigérian reproche au Camerounais d’avoir voulu lui faire mal.
« Nous sommes une équipe unie et encore plus nous sommes une famille. Il n’y a pas de problèmes dans une famille », a ensuite écrit André Frank Zambo Anguissa pour faire redescendre la température. Victor Osimhen a relayé le post du Lion. Tout est bien qui finit bien.
Maintenant, on apprend que le Lion indomptable André Frank Zambo Anguissa et Victor Osimhen se sont réconciliés après leur altercation. Interrogé par la Radio Kiss Kiss Napoli, le coéquipier des deux joueurs, Mario Rui a déclaré qu’ils ont fait la paix.
Il a avoué : « Quand je vois un coéquipier pousser à l’entraînement, je suis très content. J’aime ce type de formation car cela signifie qu’il y a de l’envie, du dévouement, de l’attachement à la cause. Alors bien sûr il faut de la sérénité, mais je peux vous assurer qu’il ne s’est rien passé. A la fin de l’entraînement, tout était fini et le soir, nous étions tous ensemble pour le dîner ».