Infos Sports of Tuesday, 24 October 2023

Source: www.camerounweb.com

Préparation spirituelle : une séance mystique de Song a fuité sur la toile (vidéo)

Une séance religieuse Une séance religieuse

Rigobert Song Bahanag, le sélectionneur et manager des Lions indomptables, croit beaucoup en ses théories mais également en Dieu. C’est même le plus essentiel pour lui. L’ancien footballeur et capitaine de la sélection nationale a été aperçu dernièrement dans une église où les fidèles invoquent avec puissance le feu du Saint-Esprit.

Et pas n’importe laquelle. Celle appartenant au directeur adjoint du cabinet civil de la présidence de la République Oswald Baboke. Est-ce à dire que Rigobert Song Bahanag veut continuer par être dans les petits papiers du pouvoir de Yaoundé ?

Le journaliste Paul Chouta écrit sur les réseaux sociaux qu’après Samuel Eto'o Fils, Rigobert Song Bahanag a été aperçu à l'église de leur ami Oswald Baboke. « Décidément toute la Fecafoot risque de se constituer en fidèles de cette église dite de réveil », lit-on.

Vient ensuite une question pertinente : « Qu'est-ce qui se cache derrière cette église ? Je me souviens quand elle était située dans mon quartier au Carrefour Iptec à Nkolndongo, on partageait souvent les motos, finançait les mariages et facilitait le recrutement de certains jeunes à la fonction publique, sans compter leur accès à l'Enam. Quelque temps après, cette église a déménagé pour s'installer dans son siège au quartier Fouda lieu-dit Hysacam à Yaoundé. À l'ancien siège de Nkolndongo, Oswald Baboke a ouvert un restaurant très fréquenté par les gars de l'Enam et autres ».

Le lanceur d’alerte ne manque pas de souligner que « celle qui "déchire", c'est Crescence Baboke épouse de l’autorité Oswald Baboke, mère de la chanteuse Indira Baboke. Elle est cadre aux impôts et sœur du sultan du cacao Antoine Samba, ancien directeur du budget au ministère des Finances et actuellement inspecteur général dans le même ministère ».

« Continuons de prier le Seigneur, il pourra nous bénir un jour comme il a béni la famille Baboke ». La conclusion de Paul Chouta dit beaucoup de choses.