• La famille Noah avait trainé l'équipementier en justice

• Il produisait des équipements de qualité douteuse

• Il s'agit des équipements destinés au basketteur Joakim Noah




Samuel Eto’o aura raison d’avoir rompu avec l’équipementier français Le Coq Sportif. Il y a quelques années, le Camerounais Yannick Noah avait trainé l’équipementier devant la justice.

Le fils de Noah, Joakim Noah, le pivot français élu meilleur défenseur de NBA, a porté plainte contre son ancien équipementier qui lui aurait fourni de mauvaises chaussures.

Modestine Carole Tchatchouang Yonzou revient sur le sujet car, dit-elle, ne pas comprendre tout l’acharnement contre Samuel Eto’o après la rupture de son contrat avec l’équipementier.

Elle en a parlé dans une tribune disponible sur sa page Facebook. « En 2014, Yannick Noah et son fils ont traîné le Coq sportif en justice pour mauvais produit (les chaussures qu’ils fabriquaient pour son fils étaient de mauvaise qualité et avaient cassé son pied) et mauvais contrat (non seulement ils le payaient mal, en plus, ils étaient en retard sur les paiements). Bien qu’étant actionnaire et ambassadeur de Coq sportif, Yannick Noah va décider de rompre le contrat entre coq sportif et son fils pour le faire signer chez Adidas », lit-on dans sa publication.

« Aujourd’hui, le même accentue la pression sur Samuel Eto’o pour préserver le contrat entre la Fécafoot et le coq sportif juste pour préserver ses intérêts égoïstes. C’EST QUAND MÊME ETO’NNANT NON ? Ils ont tous conscience que le coq sportif a perdu de sa superbe depuis belle lurette. Pour preuve, même l’équipe nationale de France ne fait de son propre coq son équipementier, et lui préfère un équipementier américain », poursuit-elle.

« Le Coq sportif peine à être même l’équipementier des simples équipes de ligue 1 française, et est plus affilié à ce jour aux équipes amateurs. Voilà donc les vérités qu’ils essayent de vous cacher juste pour clouer Samuel Eto’o au pilori. Honte à vous ! La France ne mange pas son propre et l’envoie picorer et chanter chez les autres ? Merci à Eto’o d’avoir mis fin à cette mascarade. Chacun doit voir midi devant sa porte !», a-t-elle conclu.

Il faut rappeler que Yannick Noah, lui-même, membre du Conseil d’administration du Coq Sportif, a joué un rôle clé dans le dossier de la signature du contrat entre la FECAFOOT et le Coq Sportif en arguant que son pays le Cameroun ne peut pas être sans équipementier à la veille de la coupe d’Afrique des Nations. C’est ainsi que le contrat est signé.