• Nouvelle accusation contre Eto’o

• Il est accusé de corruption

• Un média algérien à la manœuvre




Alors qu’il est encore au cœur des débats depuis la semaine dernière sur le cas de Conceicao ou encore Gatama, un nouveau coup vient de plonger le président de la FECAFOOT.

La FIFA a annoncé la tenue en mars prochain du match aller des barrages entre le Cameroun et l’Algérie. En pleine organisation pour accueillir ce match, la presse algérienne mène une campagne d’intoxication contre Samuel Eto’o, le président de la Fédération Camerounaise de Football.

Une presse algérienne s’en est prise à Samuel Eto’o, l’accusant de corruption dans la sphère de décision du football camerounais.

Le media pointe du doigt des séries de scénarios passés afin de déstabiliser le président de la FECAFOOT.

L’ancien capitaine des « Lions Indomptables » et sociétaire du FC Barcelone est synthétiquement dénigré par une presse algérienne dénommée ‘Compétition’.

« On a tous vu comment Eto’o a fait le forcing pour faire passer le choix de Japoma. Malgré les réticences de la FIFA, il a atteint son objectif comme il l’avait atteint fin décembre quand il a fait plier Infantino et la CAF pour valider leur CAN et les dates initialement prévues », indique le média sportif algérien.

« Plus tard d’ailleurs, on apprendra que des sommes faramineuses ont été déboursées pour convaincre les décideurs de la nécessité de maintenir la CAN », ajoute-t-on.

Le concerné, Samuel Eto’o, n’a pas encore réagi à cette nouvelle accusation qui vient rallonger ses défis depuis son accession à la présidence de la FECAFOOT.