Infos Sports of Thursday, 12 January 2023

Source: www.camerounweb.com

Triste nouvelle : un journaliste algérien décède après avoir contracté le paludisme au Cameroun

C'est l'information principale des médias algériens C'est l'information principale des médias algériens

C’est l’information principale des médias algériens. Le journaliste sportif algérien Hamza Berkaoui est décédé ce mercredi 11 janvier 2022 après son passage au Cameroun à l’âge de 36 ans.

D’après plusieurs sources, le journaliste était dans le pays pour couvrir la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2021 comme envoyé spécial d’Echourouk en janvier 2022. Il a alors contracté le paludisme.

Après son retour en Algérie, son état s’est très vite détérioré. Il sera ensuite hospitalisé à l’hôpital des maladies infectieuses d’El-Kettar dans la capitale algérienne. Mais après un long combat contre la maladie, il ne s’en est toujours pas remis.

D’après le média Algérie 360, « en plus de la malaria, son état de santé s’est également détérioré d’une manière très inquiétante après avoir été contaminé par le virus Covid-19 ».

Le média a également pu recueillir le témoignage d’un de ses collègues et ami. « Hamza a poursuivi son traitement en Algérie. Il a pris tous les médicaments que le médecin lui a prescrit…Il s’est avéré que la malaria lui a causé des taches dans les poumons, avant d’attaquer le foie, lui causant aussi l’hépatite…Ce n’est plus Hamza le journaliste vivant qu’on a toujours connu.

Il est devenu une personne qui sent le sommeil toute la journée. On lui a toujours autorisé de rentrer chez lui pour se reposer », raconte Mohamed Bouroubi.

« Hamza a passé plusieurs examens médicaux afin de connaitre davantage de quoi il souffre exactement. Il a passé toutes les radios, IRM, échographie, scanner, mais les médecins n’ont pu diagnostiquer sa maladie.

Un jour il m’a dit : et si je suis atteint du cancer ? Est-ce que les médecins me cachent quelque chose ? Je veux aller faire une Omra. Je veux voir les lieux saints et j’accepte le destin que m’a réservé le bon Dieu », poursuit-il.