• Francis Ngannou n’est pas encore là qu’il intimide déjà
• Le Camerounais est sans pitié pour ses adversaires
• Il donne le nom de deux potentielles prochaines victimes
Francis Ngannou est un pratiquant camerounais d'arts martiaux mixtes (MMA). Il est surnommé "The Predator". Lundi dernier, il a été reçu par Ariel Helwani dans The MMA Hour. Le colosse combattant récupère actuellement d’une blessure au genou. Tout de même, il planifie tranquillement la suite de sa carrière en étant en même temps focalisé sur la récupération de son mal de genou.
L’une des questions posées à Francis Ngannou par Ariel Helwani était de savoir les adversaires avec qui il souhaite se battre dès son retour de blessure.
« Je pense que l’UFC (Ultimate Fighting Championship) est une bonne promotion et je veux continuer à me battre. Tyson Fury n’est pas mon dernier combat. Je veux continuer à me battre. Après Tyson Fury, il y a encore beaucoup de combats. Il y a Jon Jones, il y a la trilogie Stipe ».
Comme on le peut le constater à travers ses lignes, rien ne fait peur à Francis Ngannou : « Il y a de gros combats que je peux faire à l’UFC, et j’aimerais vraiment que cela se produise. J’aimerais vraiment que nous arrivions à un point commun. Oui, je peux faire le combat contre Tyson Fury tout seul, mais quelle est la prochaine étape ? Je voudrais continuer à me battre. Je voudrais que nous parvenions à un accord ».
Sur sa blessure et son temps de récupération, Francis Ngannou s’est projeté : « Potentiellement en novembre, mais plus probablement en décembre. Parce qu’en décembre, je serai dans le plein cap de neuf (09) mois de récupération. Même si mon rétablissement semble plus rapide, je veux quand même me donner plus de temps pour ne pas donner une chance de me blesser à nouveau à ce même genou ».
Par ailleurs, le Camerounais a posé des conditions pour poursuivre sa collaboration avec l’UFC : « Le combat doit faire partie de la discussion parce que si cela ne fait pas partie de la discussion, ce ne sera jamais le cas. Si je signe un autre contrat maintenant, essentiellement le même modèle de contrat, je suis foutu. Cela n’arrive jamais. Nous devons donc trouver un moyen de mettre cela en œuvre dans un contrat ».