• Valère Bessala ne veut plus parler de Samuel Eto’o
• D’autres invités aussi fuient le sujet
• Eto’o fait peur
La Fecafoot et Samuel Eto’o n’étaient pas officiellement au menu de l’émission Club d’Elites de ce dimanche 17 avril 2022 mais le sujet ayant fait le chou gras de la presse en semaine, c’est tout naturellement que le présentateur Bruno Bidjang a souhaité faire une petite ouverture dessus. Surprise général, la quasi-totalité des invités ne souhaitent plus parler de Samuel Eto’o.
L’ancien administrateur civil Valère Bessala, généralement critique vis-à-vis du président de la Fédération camerounaise explique les raisons de son silence sur les affaires concernant Samuel Eto’o. Ces différentes sorties sur le sujet ont provoqué la colère de certains jeunes qui avaient décidé d’en découdre avec lui. Tenant à son intégrité physique, l’homme politique fait une croix sur Samuel Eto’o, mais dit avoir une petite idée sur ce qui lui arrivera.
« J'ai donné à Samuel Eto'o tous les conseils que je pouvais lui donner entre décembre et janvier. Cela m'a valu beaucoup de quolibets avec les jeunes. J'ai donc décidé de ne plus jamais parler de Samuel Eto'o, jusqu'à ce qui devra lui arriver arrive. Évidemment je ne le souhaite pas, car il travaille quand même. », a-t-il déclaré.
Cette petite sortie de Valère Bessala a suffi pour provoquer une nouvelle fois la colère des internautes. Sur les réseaux sociaux ils multiplient les attaques contre l’ancien administrateur civil. « C'est terrible quand les patates pensent pouvoir rivaliser de prix avec les pommes de terre le pays si c'est la magie dans ta famille même tout le monde ne te connait pas tu veux donner des leçons », commente Christian Oloumou.
De son côté Kemi Bantu estime que Valere Bessala, compte tenu de son parcours professionnel, n’est pas légitime pour donner de leçons à Samuel Eto’o.
« Des gens qui n'ont jamais été des modèles dans leur domaine se permettent de parler ainsi. Il travaille quand même.....En 4 mois de mandat seulement Eto'o a réalisé ce que personne d'autre n'a fait avant lui », ajoute-t-il.