Infos Sports of Thursday, 20 July 2023

Source: www.camerounweb.com

Voici le vrai parrain du business de la mafia derrière One All Sports

Un désordre total initié par Samuel Eto'o Un désordre total initié par Samuel Eto'o

Samuel Eto’o est accablé par des révélations mafieuses. Outre les audios où on pouvait l’entendre parler avec le Président de Victory United, le président de la Fecafoot fait face à des faits illégaux dans l’affaire de l’équipementier One All Sports.

One All Sports a signé un contrat de distribution et vente des maillots avec BEE de Patrick Timani. Ce dernier, dans un communiqué officiel, indique ne pas avoir signé aucun contrat avec la FECAFOOT elle-même.

« Il convient de souligner qu'il n'existe aucun lien contractuel entre Bee SARL et la FECAFOOT. L'accord conclu ne comporte aucune obligation financière envers la FECAFOOT. Par conséquent, Bee SARL ne comprend pas pourquoi One All Sports, qui est en possession dudit contrat, cherche à l'impliquer dans un litige avec la FECAFOOT ».

Un an après la signature, on apprend que ONE ALL SPORTS et La FECAFOOT portent plainte à BEE. Or BEE n’a aucun contrat avec la FECAFOOT.

« La FECAFOOT de Samuel ETO’O prétend signer le plus grand contrat du monde mondial avec ONE ALL SPORTS. Une société écran basée à Singapour spécialisée dans le blanchiment. ETO’O n’a jamais présenté le contrat de ONE ALL SPORTS. Même pas à la commission Marketing de la FECAFOOT. Par derrière ETO’O Fils convainc EDIMO de Joel MONEFONG à travers sa sœur Nicole de lui verser l’argent pour produire et vendre les équipements de ONE ALL SPORTS. ONE ALL SPORTS ne verse même pas 5frs à la FECAFOOT en un an de prétendu partenariat », écrit Boris Bertolt.

« Le problème c’est que ONE ALL SPORTS est une société écran donc ils vont faire comment pour porter plainte ? Mais comme c’est ETO’O derrière ONE ALL SPORTS et il ne peut pas traîner en justice BEE à l’étranger parce qu’il n’a jamais assumé être l’un des bénéficiaires effectifs de ONE ALL SPORTS (fraude et blanchiment d’argent) il passe par le Cameroun pour vouloir faire du trafic d’influence. Mais BÉE avait bétonné son contrat », précise le journaliste.