Depuis vendredi, Gaëlle Enganamouit se retrouve au centre d’une virulente controverse sexuelle. L’ancienne footballeuse n’a rien inventé, puisqu’avant elle on avait déjà eu les scandales de Charlotte Dipanda, Clinton Njié, Longuè Longuè, Yolande Bodiong, Samuel Eto’o Fils et j’en passe ! Sans oublier les partouzeurs de Bonamoussadi et de Kribi, bref, ce ne sont pas les scandales sexuels qui manquent ici au Cameroun...
Ceci dit, l’ancienne Lionne indomptable qui a pris sa retraite footballistique en juin 2020 —à l’âge officiel de 28 ans—, se serait bien passée de ces nouvelles révélations. Il circule en effet sur la toile des vidéos d’elle dénudée, complètement dénudée je veux dire, en train de faire les mauvaises choses avec une demoiselle qui s’appellerait Ahanda Nomo Brenda Charlie.
L’affaire a commencé plusieurs semaines auparavant. Il paraît que la charmante Brenda surnommée aussi Khalifa, avait décidé de rompre avec notre ex-goléador. Et que l’ancienne buteuse de l’équipe nationale ayant du mal à digérer cette brutale séparation, ait demandé à récupérer ses objets et effets personnels (ça ne vous rappelle pas une certaine Nathalie et un certain Samuel ?). Notamment des bijoux de valeur, des vêtements et autres gadgets électroniques. Mais en plus une tablette dont le contenu aurait une valeur inestimable, et ce serait le contenu de cette tablette qui serait en train d’être déversé progressivement à travers les réseaux sociaux...
Gaëlle Enganamouit avait d’ailleurs saisi le procureur de la République le lundi 1er novembre 2021, pour porter plainte contre son ancienne amie. Le motif de la plainte c’est « rétention sans droit de la chose d’autrui ». Mais, à la lecture de la correspondance, on voit bien que l’ancienne buteuse était davantage inquiète par la divulgation de ses vidéos érotiques, que par la rétention sans droit de ses ceintures et autres perruques artificielles...
PLUSIEURS CHOSES : déjà les nombreuses vidéos qui circulent ont toutes un caractère homosexuel. Ce qui alimente encore plus la thèse selon laquelle la plupart des footballeuses camerounaises, seraient majoritairement des lesbiennes. De plus, Notre Ballon d’or africain 2015 est parfaitement identifiable sur chacune des vidéos. On la voit dans la voiture avec son « amie », on la voit en train de masser les pieds de la charmantissime Khalifa, on la voit en train de se frotter le clitoris dans une autre vidéo qui dure plus de trois minutes, et on les voit aussi couchées sur le matelas avec les seins en l’air, en train de se faire quelques câlineries...
Cette affaire a officiellement éclaté le vendredi 5 novembre avec la diffusion de ces vidéos pornographiques, mais Gaëlle avait essayé de l’étouffer depuis le 4 novembre en démissionnant de la Fécafoot. Pour semer la diversion, elle a quitté son poste de Team manager de l’équipe féminine des Lionnes indomptables, accusant son président Seydou Mbombo Njoya de lui mettre trop de pression et de menaces. Mais ça n’a pas marché puisque la requête la plus effectuée sur Google actuellement au Cameroun, c’est « Je veux la vidéo de Gaëlle Enganamouit ».
COMMENT COMPRENDRE QUE MALGRÉ TOUS CES SCANDALES, des gens continuent de filmer leurs ébats sexuels ? Ils veulent prouver quoi à qui ? Pourquoi ne pas mettre un peu de filtre dans cet auto-voyeurisme pervers et narcissique, et penser plutôt aux conséquences désastreuses de tels contenus vidéographiques ? Et davantage pour les personnalités publiques, pourquoi oser s’aventurer sur des jeux aussi dangereux ? Ne doivent-elles pas prendre minutieusement soin de leur image, de leur apparence, de leur réputation et de leur vie privée ?
Voilà maintenant que Gaëlle Deborah Enganamouit se retrouve au centre d’une controverse sexuelle très néfaste pour sa post-carrière. Quoi que l’on fasse, ses vidéos pornos ne disparaîtront jamais de la toile. Elle que nous considérions comme un véritable modèle, se retrouve enfoncée publiquement pour une histoire de pudeur et d’homosexualité. « L’enfant des rails », comme elle s’appelle elle-même, était quitté de son petit sous-quartier là-bas à Yaoundé pour atteindre les sommets du football féminin mondial, devenant même la première joueuse africaine à réaliser un triplé durant une rencontre de Coupe du monde.
Mais voilà, elle s’est elle-même foutue dans le pétrin avec son propre consentement. J’espère au moins que cela servira de leçon à tous ceux qui ont besoin de manifester leurs élans sexuels devant une caméra...